Films britanniques des années 60
Maniac (1963)
Un thriller psychologique en Camargue produit par la Hammer ! Un scénario pas totalement convaincant mais une ambiance bien travaillée
Make Mine Mink / Un vison pour mademoiselle (1960)
Une comédie criminelle enlevée autour d’un gang d’improbables amateurs qui vole des fourrures pour les bonnes oeuvres !
The Full Treatment / Traitement de choc (1960)
Un bon thriller psychologique signé Val Guest pour la Hammer qui se déroule entre Londres et la Riviera. Le plus grand rôle de l’acteur gallois Ronald Lewis.
Psyche 59 (1964)
Samantha Eggar formidable, à la fois victime et bourreau, au coeur d’un drame psychologique sur les rapports dominants-dominés
Stranger in the House (1967)
Une adaptation de Simenon, dénonçant les hypocrisies de la bourgeoise de province, transcendé par un James Mason impérial
Tom Jones (1963)
Une brillante farce et satire de l’Angleterre du XVIIIe par l’un des maîtres de la nouvelle vague britannique, Tony Richardson. Quatre Oscars et un triomphe public mérités !
Dr. Who and the Daleks (1965)
La plus mythique des séries SF anglaises est portée sur grand écran deux ans après sa création. Malheureusement, le résultat est très primitif
West 11 (1963)
Une errance sombre dans le Notting Hill des sixties, une perle noire signée Michael Winner à découvrir sans tarder
Doppelgänger (1969)
Quand les créateurs de « Thunderbirds » passent au film avec des acteurs en chair et en os, c’est le clash entre l’ambition d’une SF adulte et un résultat souvent ennuyeux
The Entertainer / Le cabotin (1960)
Brillant portrait d’un artiste du music hall, cabotin et escroc, qui tente de survivre à la déchéance de sa profession. Une composition mémorable de Laurence Olivier dans un film de la nouvelle vague anglaise
Berserk (1967)
Un cirque, des crimes violents et Joan Crawford. Un mélange très plaisant concocté par le producteur Herman Cohen
The Gorgon / La gorgone (1964)
Dernière collaboration du trio mythique Terrence Fisher / Peter Cushing / Christopher Lee pour la Hammer et malheureusement un peu décevante
Fanatic (1965)
Un thriller atypique de la Hammer avec un casting porté par la trop rare Tallulah Bankhead. A découvrir !
Hot Millions (1968)
Peter Ustinov parfait en escroc qui doit se mettre au goût du jour et se faire passer pour un programmeur. Drôle et désuet avec également Maggie Smith et Karl Maiden
Charlie Bubbles (1968)
Un écrivain riche et célèbre est submergé par l’ennui. Albert Finney joue le rôle principal dans sa seule réalisation. A (re)découvrir !
The Yellow Rolls-Royce / La Rolls-Royce Jaune (1964)
Des histoires d’amour malheureuses et une Rolls-Royce jaune. Le tout écrit par Terence Rattigan et filmé par Anthony Asquith avec un casting en or ! So old school but so charming!
Night Must Fall (1964)
Quatre ans après « Saturday Night and Sunday Morning », Albert Finney retrouve Karel Reisz pour incarner un psychopathe dans un thriller malsain injustement oublié !
London in the Raw (1964)
Un documentaire d’exploitation qui transforme le Londres des sixties en capitale des vices ! Shocking!
One Million Years B.C. / Un million d’années avant J.C. (1966)
Raquel Welch en bikini préhistorique et des dinosaures animés par Ray Harryhausen, c’est forcément indémodable !
The Boys (1962)
Quatre jeunes sur le banc des accusés pour meurtre. Un film réussi sur la jeunesse défavorisée des années 60. Les sixties ne swinguent pas pour tous !