Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Barbarians / Nuit barbare (2021)
Premier film d’un producteur expérimenté, « Barbarians » tente d’emprunter aux genres du folk horror, de l’home invasion et du drame psychologique ? Un peu too much ?
Dr. Crippen (1963)
Une très belle prestation de Donald Pleasance et une photographie de Nicolas Roeg sauvent-ils un film plombé par une lecture discutable d’un des cas criminels britanniques les plus célèbres du début du XXe siècle ?
Civil War (2024)
Pour son quatrième film, Alex Garland met en scène une Amérique déchirée, à feu et à sang. Un film d’anticipation engagé ou un gros divertissement ?
Love Thy Neighbour (1973)
Une comédie très années 70, basée sur une sitcom populaire et dont l’humour est basé sur des stéréotypes racistes. Le témoignage d’une époque révolue ?
Suspect (1960)
Entre drame et thriller, « Suspect » est un film méconnu des frères Boulting. Malgré un pitch intéressant, le film part dans tous les sens. Dommage.
Ten Seconds to Hell / Tout près de Satan (1959)
Jack Palance démine les bombes encore intactes dans un Berlin en ruine dans une production Hammer sous la direction de Robert Aldrich
Out of Darkness (2022)
Un thriller horrifique violent et sombre qui remonte aux origines de la race humaine avec une histoire de survie dans un environnement inhospitalier
Gods of the Deep (2023)
Charlie Steeds continue son exploration du cinéma d’horreur en mélangeant cette fois-ci les influences venues de Lovecraft et de James Cameron !
The Uncanny / Brrr… (1977)
Si vous avez été toujours convaincu que les chats sont des créatures maléfiques, ce film est fait pour vous ! Un bon exemple tardif de film d’horreur à sketches
Split Second (1992)
Rutger Hauer en détective badass dans un film de SF horrifique situé dans un Londres qui a les pieds dans l’eau.
Starfish (2016)
Un pari audacieux de biopic sur un quadri-amputé qui cède rarement aux sirènes du mélodrame et propose des personnages crédibles
The Zone of Interest / La zone d’intérêt (2023)
Pour son quatrième long métrage, Jonathan Glazer revient avec un pari audacieux et casse gueule. Mission réussie ?
Poor Things / Pauvres Créatures (2023)
Emma Stone campe une « créature monstrueuse » qui s’approprie son humanité et sa féminité par l’expérience d’un monde qui baigne dans l’absurde et la noirceur
Carry on Emmannuelle (1978)
Franchise comique basée sur les gags sexuels implicites, les « Carry On » font un bide en voulant parodier le gros succès érotique de l’époque
T.I.M. (2023)
Un thriller divertissant mais prévisible et pas crédible pour un sou sur un androïde qui se retourne contre ses propriétaires
The Trouble With Jessica (2023)
Une comédie dramatique teintée d’humour noir au traitement très british. Un chouette divertissement
LOLA (2022)
Pour son premier long métrage, Andrew Legge signe un film de SF ambitieux, atypique et formellement très maitrisé. A découvrir d’urgence
Link (1986)
Un thriller horrifique efficace où un chimpanzé psychopathe sème la terreur au fin fond de l’Ecosse !
A Good Woman Is Hard to Find (2019)
Un thriller bien fichu autour d’une jeune mère pris dans un engrenage qui met ses enfants en danger sur fond de trafic de drogue. Mais Sarah va réagir et va sortir l’artillerie lourde !
Nandor Fodor and the Talking Mongoose (2023)
L’histoire « vraie » et intrigante d’une mangouste parlante sur l’île de Mann au début des années 30… mais un film raté