Films d’horreur britanniques
The Shining (1980)
Avec « The Shining », Stanley Kubrick essaie de poser sa marque sur le genre du film d’horreur. Un flop à sa sortie, devenu aujourd’hui un maitre étalon du genre. A tort ou à raison ?
Dark Places / Le manoir des fantasmes (1974)
Une curiosité, ce petit thriller horrifique un peu désuet se démarque quand même par une réalisation assurée de Don Sharp et un casting cinq étoiles
Enys Men (2022)
L’âme cornouaillaise transposée à l’écran par Mark Jenkin entre drame, film d’horreur et film expérimental. Le résultat est aussi hypnotisant que déconcertant
The Devil’s Doorway (2018)
Partant de fais réels (les couvents catholiques irlandais pour femmes de « petite vertue »), les scénaristes rajoutent des éléments horrifiques presque superflus, mais « diablement » efficaces !
Unwelcome (2022)
Un film d’horreur où des goblins sanguinaires et des dégénérés locaux s’en prennent à un jeune couple fuyant la violence urbaine pour s’installer dans la campagne irlandaise
The Ballad of Tam Lin (1971)
Inspiré d’une ballade du folklore écossais, un triangle amoureux malsain qui vire vers l’horreur, avec la légendaire Ava Gardner !
Nightmare (1964)
Un thriller horrifique superbement mis en image par Freddie Francis et qui démontre encore une fois le savoir-faire de la Hammer
The Strangers: Prey at Night (2018)
Un slasher très générique qui se démarque uniquement par son clin d’oeil appuyé aux productions des années 80
Werewolf Castle / Chevaliers contre loups-garous (2021)
Un film de fantasy où de valeureux chevaliers doivent combattre une armée de « terrifiants » loups-garous. Un résultat à la hauteur de son budget
Urban Ghost Story (1998)
Quand un poltergeist s’installe dans un appartement HLM vétuste de Glasgow. Un mélange ambitieux et réussit entre cauchemar social urbain et événements paranormaux.
Two Pigeons (2017)
Imaginez qu’un homme, dont le seul objectif est de vous rendre fou, vit caché chez vous. Un ofni ingénieux entre film d’horreur, comédie et drame social !
The Monster Club / Le club des monstres (1981)
Un film à sketchs horrifiques conçu par des maitres du genre qui tente de moderniser la formule en y ajoutant humour et musique.
The Phantom of the Opera / Le fantôme de l’opéra (1962)
Avec ce remake du Fantôme de l’Opéra, la Hammer signe l’un de ses plus beaux films gothiques mais où l’horreur est secondaire
The Girl with All the Gifts / The Last Girl (2016)
Un film de zombie largement supérieur à la moyenne avec un excellent casting et une histoire cohérente
Frankenstein and the Monster from Hell (1974)
Un Frankenstein à l’ancienne qui voit le retour de Terence Fisher et de Peter Cushing. Un beau chant du cygne pour le dernier Hammer gothique, désormais dépassé
Devil’s Bridge (2011)
Un énième thriller horrifique où des citadins sont confrontés à un psychopathe dans le fin fond de la campagne (ici galloise). Une réalisation maladroite a de quoi achever les spectateurs
Cannibals and Carpet Fitters (2017)
Une comédie horrifique dans la moyenne dont le titre résume bien l’ambition et les limites. Pas de grosse surprise mais une exécution soignée pour un film à petit budget
Beyond the Rave (2008)
Le grand retour de la Hammer au XXIe siècle se fait par l’intermédiaire d’une web série diffusée à l’origine sur MySpace. Au menu : des vampires organisateurs de Rave Party !
Inbred (2011)
Un village de dégénérés consanguins s’en prend à quatre ados difficiles et leurs deux éducateurs. Qui va gagner ? Une comédie horrifique et gore un peu trop référencée
Resurrecting the Street Walker (2009)
Un mockumentary horrifique qui emprunte aux techniques des documentaires sensationnalistes pour livrer une réflexion sur l’envers du décor du milieu du cinéma. Original et ambitieux !