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Rétrospective Mike Leigh à la cinémathèque
La cinémathèque française rend hommage à l’immense Mike Leigh du 26 mars au 7 avril 2025.
Les festivals du cinéma britannique (et Irlandais) en France
Petit tour des nombreux festivals français consacrés au cinéma d’Outre Manche !
Rétrospective Karel Reisz à la cinémathèque du 11 au 18 décembre 2024
Karel Reisz est l’une des figures du Free Cinema puis de la Nouvelle vague anglaise avant de faire une carrière diversifiée des deux côtés de l’Atlantique

The Stone Tape (1972)
Un téléfilm culte signé Nigel Kneale, « The Stone Tape » reste l’un des exemples les plus efficaces de confrontation entre la modernité et l’horreur ancestrale propre au genre du folk horror
Bring Them Down / Le clan des bêtes (2024)
Un jeu de massacre bestial sur fond de rivalité entre deux clans de bergers dans la campagne irlandaise. Quand la violence, enfermée dans les silences de plusieurs générations, explose, le sang coule à flot
Wuthering Heights (2011)
Une lecture libre, organique, épurée et inspirée du roman d’Emily Brontë autour d’une histoire d’amour sombre et cruelle
Freebird (2008)
Une virée sous champis au pays de Galles ! Une comédie de motards malheureusement pas aussi drôle qu’elle pense l’être. Morale de l’histoire ? Tourner un film ou se droguer, il faut choisir !
Tomorrow Never Dies / Demain ne meut jamais (1997)
Heureusement qu’il y a Michelle Yeoh, car sinon cet opus de 007 propose l’un des pires scénarios de la franchise, à la la limite du parodique mais sans humour et moyennement divertissant
Edge of Sanity / Dr. Jekyll and Mr. Hyde (1989)
Anthony Perkins joue un rôle sur mesure, mélange de Dr Jekyll et Jack l’éventreur, dans une adaptation libre très stylisée et expressionniste du roman de Stevenson
Fun and Games (1971)
Une nymphomane dans une prison ? Sur ce thème tout droit venu des années 70, « Fun and Games » nous propose une version plutôt sage et plus dramatique que provocante
The Rebel (1961)
L’une des rares apparitions sur grand écran d’un monument de la comédie britannique Tony Hancock. Une satire du milieu de l’art pas très subtile mais suffisamment drôle et colorée pour qu’on passe un bon moment !
Laxdale Hall (1952)
Une merveilleuse comédie sur une petite communauté d’un village insulaire écossais qui doit faire face aux politiciens londoniens et aux braconniers de Glasgow
The Winslow Boy (1948)
Un modèle du film de procès, inspiré de faits réels, où un père est prêt à se ruiner pour défendre l’innocence de son fils… contre la couronne.
A Cottage on Dartmoor (1929)
Une histoire d’obsession amoureuse et de jalousie mortifère classique mais merveilleusement mise en image par un Anthony Asquith au pinacle de son inventivité visuelle