Films de guerre britanniques
Against the wind / Les guerriers dans l’ombre (1948)
Une production Ealing sur des personnages de l’ombre, les espions et saboteurs envoyés derrière les lignes ennemies avec des chances de survie très faibles. Un drame cruel où l’héroïsme semble vain
Civil War (2024)
Pour son quatrième film, Alex Garland met en scène une Amérique déchirée, à feu et à sang. Un film d’anticipation engagé ou un gros divertissement ?
Ten Seconds to Hell / Tout près de Satan (1959)
Jack Palance démine les bombes encore intactes dans un Berlin en ruine dans une production Hammer sous la direction de Robert Aldrich
The Zone of Interest / La zone d’intérêt (2023)
Pour son quatrième long métrage, Jonathan Glazer revient avec un pari audacieux et casse gueule. Mission réussie ?
LOLA (2022)
Pour son premier long métrage, Andrew Legge signe un film de SF ambitieux, atypique et formellement très maitrisé. A découvrir d’urgence
The First of the Few (1942)
Un excellent film de propagande, porté par Leslie Howard, qui raconte la vie (romancée) de l’inventeur de l’avion de chasse le plus connu de la seconde guerre mondiale, le Spitfire.
Their Finest / Une belle rencontre (2016)
Une comédie dramatique divertissante mais trop classique. Et une sacré insulte à l’âge d’or du cinéma britannique !
Get Cracking (1943)
Une comédie enlevée, tournée pendant la guerre, sur les home guards, l’armée de volontaires qui était censée protéger les Britanniques d’une invasion allemande
The Keep / La forteresse noire (1983)
Massacré au montage, le deuxième film de Michael reste un conte métaphysique sur le mal fascinant qu’on rêve un jour de voir en intégralité et restauré comme il se doit
Biggles (1986)
Un film d’aventures très années 80 avec un soupçon de folie mais une réalisation et une interprétation trop plates pour qu’il réussisse son envol
Deathwatch / La tranchée (2002)
Un huis clos horrifique dans les tranchées de la grande guerre. Un pari osé pour Jamie Bell, découvert dans Billy Elliott, et qui ici doit affronter une double dose d’horreur
The Guard of Auschwitz / L’officier d’Auschwitz (2018)
Un film qui prend un pari ambitieux (nous montrer Auschwitz par le regard d’un garde nazi) mais qui échoue à cause de son son manque de moyens et de talents
Soldiers of the Damned (2015)
Des soldats allemands accompagnent des nazis pour une mission secrète dans les tréfonds d’une forêt hantée en Roumanie. Un film de nazisploitation avec de bonnes idées mais qui pêche par sa réalisation
Werewolves of the Third Reich (2017)
Faire du Tarantino sans l’ombre d’un budget n’est pas chose facile. Même avec deux masques de loups-garous
Outpost: Rise of the Spetsnaz (2013)
Préquelle de la série Outpost, ce troisième opus offre du dézingage de nazis quasi non stop agrémenté quelques proto-zombies.
Waterloo Road (1945)
Un bon mélodrame sur fond de Londres dévasté par le blitz et signé Sidney Gilliat avec des « jeunots » déjà célèbres John Mills et Stewart Granger
The Triple Echo (1972)
Un drame psychologique intrigant mais pas toujours crédible, malgré un beau trio d’acteurs, où un déserteur doit se faire passer pour la soeur de la femme qu’il aime.
Lady Hamilton (1941)
Quand Churchill fait appel au cinéma et à son ami Alexander Korda pour convaincre les Américains de s’engager auprès des Européens contre Hitler, l’âme de Nelson et le couple britannique le plus glamour sont appelés à la rescousse !
The Dam Busters / Les briseurs de barrage (1955)
Un film de guerre impressionnant sur l’attaque la plus osée menée par la Royal Air Force durant la Seconde Guerre mondiale
I See a Dark Stranger / L’étrange aventurière (1946)
Launder et Gilliat signent encore une fois un modèle de thriller original avec cette fois un thème particulièrement audacieux et une Deborah Kerr magnifique