Films dramatiques britanniques
The Wreck Of The Mary Deare / Cargaison dangereuse (1959)
Grosse production de la MGM, un thriller en mer qui souffre de quelques déséquilibres mais bénéficie de belles séquences en mer et d’un casting royal
Cry, the Beloved Country (1951)
Le premier film à dénoncer l’apartheid est un mélodrame fort et juste, filmé en grande partie en Afrique du Sud, avec un casting exceptionnel. Un grand classique injustement méconnu !
The Survivalist (2015)
Un drame SF glaçant autour de trois personnages plongés dans une logique exclusive de survie
The Prisoner/ L’emprisonné (1955)
Un face à face impressionnant entre Alec Guinness et Jack Hawkins, dirigé par Peter Glenville, dénonçant les dogmes idéologiques et religieux (ce qui lui a valu plusieurs bannissements et accusations de parti-pris)
The Hunger / Les prédateurs (1983)
Un film de vampires contemporain et stylisé qui vaudra à Tony Scott les ires de la critique. Pourtant « The Hunger » a plutôt bien vieilli et reste fascinant par son esthétique et ses acteurs principaux
All Coppers Are… (1972)
Entre drame social, romance cruelle et film criminel, « All Coppers Are… » semble également hésiter entre une approche old school et moderne. Un résultat inégal mais intéressant
Malachi’s Cove / La crique de Malachi (1973)
Un joli drame porté par le duo touchant entre Donald Pleasence et Veronica Quilliga, seuls face à l’adversité de la nature et des hommes
The Awakening / La maison des ombres (2011)
Une ambiance très réussie, d’excellents acteurs mais un scénario qui tire un peu trop sur la crédulité du spectateur
When the Lights Went Out (2012)
Basé sur des faits réels et conçu par un membre de la famille victime du poltergeist « le plus violent d’Angleterre ». Entre film d’horreur et drame social à l’anglaise, un mélange étonnant mais qui fonctionne assez bien.
Under the Skin (1997)
Avec son unique film à ce jour, Carine Adler signe un portrait poignant de deux soeurs qui doivent faire face au décès soudain de leur mère
Cleft Lip / Bec de lièvre (2018)
Un drame indépendant qui tente de moderniser l’histoire d’Oedipe Roi de Sophocle. Ambitieux mais pas toujours très convainquant
The Raven on the Jetty / Le corbeau sur la jetée (2015)
Un drame contemplatif et intimiste où un enfant silencieux depuis la rupture de ses parents, passe son premier week-end avec son père dans une ferme isolée
The Kindred (2021)
Un thriller bien fichu avec de petites doses horrifiques et fantastiques, porté par la performance de son actrice principale, April Pearson
Let Me In / Laisse-moi entrer (2010)
Deux excellents jeunes acteurs transcendent ce drame horrifique et mélancolique où le vampirisme est une métaphore du passage à l’âge adulte.
The Girl in a Swing (1988)
Une romance passionnée qui vire au cauchemar avec de subtiles touches fantastiques, érotiques et horrifiques. Sûrement le meilleur film de Gordon Hessler avec une Meg Tilly sublime
Settlers (2021)
Un western SF à l’image de ses décors naturels, d’une beauté glaciale et mélancolique où les signes de vie sont presque des anomalies
The Leather Boys (1964)
Un drame audacieux et très réussi, mélangeant biker movie, réalisme social et réflexion sur le couple et l’homosexualité. Un portrait réaliste et juste de la jeunesse britannique du début des années 60
Possum (2018)
Un drame horrifique puissant à l’ambiance très travaillée. Le premier film de Matthew Holness est une belle réussite, déstabilisante mais portée par l’acteur Sean Harris, une photographie et une musique remarquables
The Guard of Auschwitz / L’officier d’Auschwitz (2018)
Un film qui prend un pari ambitieux (nous montrer Auschwitz par le regard d’un garde nazi) mais qui échoue à cause de son son manque de moyens et de talents
The Feast (2021)
Un drame tendu en gallois qui se déroule lors d’un diner et vire au folk horror terrifiant sur le thème du choc entre traditions et modernité. Une belle surprise !