Films dramatiques britanniques
Innocent Sinners (1958)
Un drame sensible et émouvant sur les enfants des rues errant dans un Londres post-Blitz, porté par des jeunes acteurs formidables
Eclipse (1977)
Un drame à l’ambiance trouble et glaciale comme les éléments qui viennent percuter les falaises écossaises par une journée d’hiver !
Welcome to Sarajevo (1997)
Un film choc sur le siège de Sarajevo, tourné quelques mois après la libération de la ville bosniaque, devenue malgré elle le symbole d’une guerre fratricide au coeur de l’Europe
Bring Them Down / Le clan des bêtes (2024)
Un jeu de massacre bestial sur fond de rivalité entre deux clans de bergers dans la campagne irlandaise. Quand la violence, enfermée dans les silences de plusieurs générations, explose, le sang coule à flot
The Winslow Boy (1948)
Un modèle du film de procès, inspiré de faits réels, où un père est prêt à se ruiner pour défendre l’innocence de son fils… contre la couronne.
Bird (2024)
Une fable sur l’étrange transition qui conduit à la perte de l’enfance, montrée à travers l’histoire d’une jeune fille de 12 ans. Un joli film surprenant entre réalisme et fantastique
Wuthering Heights (2011)
Une lecture libre, organique, épurée et inspirée du roman d’Emily Brontë autour d’une histoire d’amour sombre et cruelle
Flame in the Streets (1961)
Un drame poignant et violent sur le racisme anti noir trois ans après les émeutes raciales de 1958 à Nottingham et Notting Hill. Des personnages déchirés, contradictoires, portés par d’excellents acteurs. Un film unique en son genre !
In a Strange Land (2017)
Un film dur sur l’esclavage moderne d’une jeune femme « importée » d’Afrique et employée comme domestique dans une famille aisée où elle subit violences et humiliations
My London Slave (2019)
Une histoire poignante de femmes nigérianes emmenées à Londres puis violentées et exploitées par leurs maris
Hard Truths / Deux soeurs (2024)
Mike Leigh revient avec un film déchirant et débordant d’humanité sur les ravages de la dépression, porté par une magnifique Marianne Jean-Baptiste
Harvest (2024)
S’il peut sembler parfois opaque à force d’entretenir le mystère, « Harvest » bénéficie d’une ambiance bien particulière, non dénuée d’humour, qui fait tout son charme
Baby Brother (2024)
Un premier film très amateur qui tente de s’inscrire dans la longue tradition des kitchen sink dramas avec l’histoire de deux frères dont l’avenir est tout tracé… pour le pire
A Cottage on Dartmoor (1929)
Une histoire d’obsession amoureuse et de jalousie mortifère classique mais merveilleusement mise en image par un Anthony Asquith au pinacle de son inventivité visuelle
Fun and Games (1971)
Une nymphomane dans une prison ? Sur ce thème tout droit venu des années 70, « Fun and Games » nous propose une version plutôt sage et plus dramatique que provocante
Cool It, Carol! (1970)
Un mélange étonnant mais convaincant de deux genres aux antipodes, le film de sexploitation et le drame social
Neds (2010)
Peter Mullan revient à la réalisation pour la troisième fois avec un réalisme social brutal sur de jeunes Glaswégiens qui sombrent dans la violence. Un film puissant et poignant
Blitz (2024)
Un mélo parfois en manque de subtilité et une superbe reconstitution du Blitz, mythe national d’union, qui se fracasse ici sur les divisions raciales, thème majeur de Steve McQueen
Baxter! (1973)
Le portrait d’un adolescent arrivé au point de rupture, petit bijou de sensibilité, avec un excellent casting, le jeune Scott Jacoby en tête
The Beast Within (2024)
Un drame horrifique autour du mythe du loup garou qui sert ici comme métaphore, pas toujours très subtile, de la violence familiale