Thrillers britanniques
Bring Them Down / Le clan des bêtes (2024)
Un jeu de massacre bestial sur fond de rivalité entre deux clans de bergers dans la campagne irlandaise. Quand la violence, enfermée dans les silences de plusieurs générations, explose, le sang coule à flot
Tomorrow Never Dies / Demain ne meut jamais (1997)
Heureusement qu’il y a Michelle Yeoh, car sinon cet opus de 007 propose l’un des pires scénarios de la franchise, à la la limite du parodique mais sans humour et moyennement divertissant
GoldenEye (1995)
Une fois le mur de Berlin tombé, que va-t-il advenir de 007 ? Il ne vas pas chômer ! Martin Campbell signe un James Bond réussi avec un Pierce Brosnan qui endosse un costume qui lui va comme un gant
Licence to Kill / Permis de tuer (1989)
Deuxième et dernier Bond de Timothy Dalton, « Licence to Kill » enfonce le clou du 007 sombre et « réaliste » avec plus de violence (mais aussi quelques concessions)
The Living Daylights / Tuer n’est pas jouer (1987)
Timothy Dalton remplace Roger Moore dans le rôle du célèbre agent secret britannique. Changement dans la continuité, retour aux sources ?
A View to a Kill / Dangereusement vôtre (1985)
Le dernier James Bond de Roger Moore, souvent malaimé, mais qui ne démérite pas avec ses cascades improbables et des méchants d’anthologie.
Crossplot (1969)
Entre The Saint et James Bond, Roger Moore traine son tuxedo dans un pseudo thriller politique mais une vraie comédie d’aventures avec son lot de charme et de bagarres
Melanie’s Grave (2024)
Un petit thriller à micro budget qui souffre d’un scénario trop basique mais surtout d’une interprétation peu convaincante
A Cottage on Dartmoor (1929)
Une histoire d’obsession amoureuse et de jalousie mortifère classique mais merveilleusement mise en image par un Anthony Asquith au pinacle de son inventivité visuelle
Penny Gold (1973)
La ville royale de Winsdor, des collectionneurs de timbre et un crime ! Une entrée en matière appétissante qui aurait pu donner un très bon giallo à l’anglaise.
Conclave (2024)
Un miracle s’est produit ! Un thriller réussi sur l’élection d’un nouveau pape ! Alléluia ! Avec une belle et sainte brochette d’excellents acteurs
Fifty Dead Men Walking / La guerre de l’ombre (2008)
Un thriller convaincant mais adapté (trop ?) librement des mémoires d’un un jeune catholique de Belfast qui trahit sa communauté en travaillant pour les Anglais
DarkGame (2024)
Un thriller horrifique pas original pour un sou mais efficace qui nous livre un suspense sombre et violent… jusqu’à la caricature
The Deep (1977)
Un film d’aventures avec un joli casting qui est à son meilleur dans les séquences maritimes heureusement assez nombreuses
The Ledge (2022)
Un thriller efficace où une jeune femme, témoin d’un meurtre, tente de fuir les coupables, bien décidés à effacer toute trace de leur acte, en escaladant une montagne.
Escape (2023)
Un thriller assez efficace sur des jeunes femmes qui tentent de s’échapper d’un gang qui compte bien les envoyer à l’autre bout du monde en tant qu’esclaves sexuels
The Informer (1929)
Un excellent thriller mélodramatique sur fond de règlement de compte au sein de l’IRA. Un petit bijou à découvrir grâce à une très belle restauration du BFI
Sunshine (2007)
Un thriller SF/horreur signé Danny Boyle. Boudé à sa sortie, « Sunshine »est pourtant une belle réussite même s’il aurait gagné à s’accorder plus de respirations
The Spy Who Came in from the Cold / Un espion venu du froid (1965)
Un des grands classiques du film d’espionnage, un anti James Bond poussé à l’extrême, où les idéologies, si vides soient-elles, s’entre-choquent et broient impitoyablement l’humain
Ten Little Indians (1965)
Basée sur le classique d’Agatha Christie, une adaptation fidèle malgré le changement de décors et qui bénéficie d’un joli casting.