Films dramatiques britanniques
Ten Seconds to Hell / Tout près de Satan (1959)
Jack Palance démine les bombes encore intactes dans un Berlin en ruine dans une production Hammer sous la direction de Robert Aldrich
Out of Darkness (2022)
Un thriller horrifique violent et sombre qui remonte aux origines de la race humaine avec une histoire de survie dans un environnement inhospitalier
Starfish (2016)
Un pari audacieux de biopic sur un quadri-amputé qui cède rarement aux sirènes du mélodrame et propose des personnages crédibles
The Zone of Interest / La zone d’intérêt (2023)
Pour son quatrième long métrage, Jonathan Glazer revient avec un pari audacieux et casse gueule. Mission réussie ?
The Old Oak (2023)
A 87 ans, Ken Loach signe peut-être bien son dernier film. Mais après 60 ans de carrière, Loach a-t-il encore quelque chose à dire ?
The Big Man (1990)
Bien avant qu’il ne devienne une star du film d’action, Liam Neeson prouvait ici qu’il savait encaisser et donner des coups !
Wild Bill (2011)
Un premier film maitrisé et sensible sur l’histoire d’un ex-criminel qui sort de prison et doit, à contrecoeur, faire face à ses devoirs paternels
Oppenheimer (2023)
Triomphe surprise de l’été 2023, le biopic sur le père de la bombe atomique est une jolie réussite, étonnamment sobre, pour Christopher Nolan
Scrubbers (1982)
Un film pas toujours équilibré sur une maison de correction pour jeunes femmes, mais qui compte de beaux portraits de jeunes délinquantes, coupées de l’existence et des réalités des gens « ordinaires »
The Great Ecstasy of Robert Carmichael (2005)
Un film choc, techniquement très maitrisé, mais dont le scénario et le message paraissent bien maladroits et artificiels
The Unlikely Pilgrimage of Harold Fry (2023)
Un film inégal, mais souvent émouvant sur la vieillesse et les regrets, porté par deux grands acteurs (Jim Broadbent et Penelope Wilton)
Moby Dick (1956)
Entre film d’aventures lyrique et drame métaphysique aux allures shakespeariennes, le souvent mésestimé « Moby Dick » fait partie des classiques signés John Huston
The Proud Valley (1940)
Un très beau drame social qui offre à l’acteur afro-américain Paul Robeson sa plus belle prestation à l’écran… dans les mines galloises !
Blue Jean (2022)
Un portrait sensible d’une jeune femme lesbienne introvertie durant les années Thatcher alors qu’est promulguée la fameuse section 28 visant à limiter la « promotion » de l’homosexualité
Enys Men (2022)
L’âme cornouaillaise transposée à l’écran par Mark Jenkin entre drame, film d’horreur et film expérimental. Le résultat est aussi hypnotisant que déconcertant
The Eternal Daughter (2022)
Joanna Hogg revient avec une dissection des relations mère/fille, portée par une Tilda Swinton impériale et une ambiance mystérieuse qui emprunte aux codes de l’horreur
The Son (2022)
Pour son deuxième film, deux ans après « The Father », le dramaturge français Florian Zeller s’essaie au mélo… et c’est le drame !
Empire of Light (2022)
Instantané d’une époque révolue ou peut-être pas tant que ça. Si la pellicule et les palais du 7e art ont quasiment disparu, les inégalités de la « vraie » vie restent
The Ballad of Tam Lin (1971)
Inspiré d’une ballade du folklore écossais, un triangle amoureux malsain qui vire vers l’horreur, avec la légendaire Ava Gardner !
Living / Vivre (2022)
Un remake du chef d’oeuvre de Kurosawa qui garde en partie la poésie désespérée de l’original grâce à la prestation mémorable de Bill Nighy