Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
The Curse of Hobbes House (2020)
Une histoire de maison maudite gardée par des zombies. Au-delà du manque d’originalité flagrant, le scénario achève ce qui aurait pu être un divertissement convenable
Wild Bill (2011)
Un premier film maitrisé et sensible sur l’histoire d’un ex-criminel qui sort de prison et doit, à contrecoeur, faire face à ses devoirs paternels
Riding High (1981)
Un jeune anglais, fan de moto, rêve de détrôner le champion américain des cascadeurs sur deux roues ! Tout un programme !
The Shining (1980)
Avec « The Shining », Stanley Kubrick essaie de poser sa marque sur le genre du film d’horreur. Un flop à sa sortie, devenu aujourd’hui un maitre étalon du genre. A tort ou à raison ?
Oppenheimer (2023)
Triomphe surprise de l’été 2023, le biopic sur le père de la bombe atomique est une jolie réussite, étonnamment sobre, pour Christopher Nolan
Outlaw (2007)
Un film d’action où un groupe improbable de justiciers tente de rétablir l’ordre. Desservi par un scénario simpliste et une réalisation à côté de la plaque. Reste le casting de qualité
Scrubbers (1982)
Un film pas toujours équilibré sur une maison de correction pour jeunes femmes, mais qui compte de beaux portraits de jeunes délinquantes, coupées de l’existence et des réalités des gens « ordinaires »
A Day at the Beach / Un jour sur la plage (1970)
Un film oublié, scénarisé et co-produit par Roman Polanski, qui a une place particulière dans son oeuvre et sa vie personnelle. Sombre et douloureux mais empreint de la poésie du désespoir
The Great Ecstasy of Robert Carmichael (2005)
Un film choc, techniquement très maitrisé, mais dont le scénario et le message paraissent bien maladroits et artificiels
The Unlikely Pilgrimage of Harold Fry (2023)
Un film inégal, mais souvent émouvant sur la vieillesse et les regrets, porté par deux grands acteurs (Jim Broadbent et Penelope Wilton)
Letter to Brezhnev (1985)
Succès surprise de l’année 1985, ce petit film indépendant tourné à Liverpool, propose une romance aussi improbable que réjouissante
Four (2011)
Un thriller en huis-clos dont le scénario et la réalisation, trop distendues, ont peine à maintenir l’intérêt sur la durée malgré de bons acteurs
A Fish Called Wanda / Un poisson nommé Wanda (1988)
Projet improbable de John Cleese, cette comédie où se mêlent à égale mesure humour, romantisme et cruauté des plus noires, est indiscutablement l’une des réussites comiques des années 80
Moby Dick (1956)
Entre film d’aventures lyrique et drame métaphysique aux allures shakespeariennes, le souvent mésestimé « Moby Dick » fait partie des classiques signés John Huston
Dark Places / Le manoir des fantasmes (1974)
Une curiosité, ce petit thriller horrifique un peu désuet se démarque quand même par une réalisation assurée de Don Sharp et un casting cinq étoiles
The Last Page (1952)
Un polar de série B, premier film de la collaboration Hammer/Lippert, réalisé par Terence Fisher et transcendé par la présence magnétique de Diana Dors
Ladies Who Do (1963)
Une comédie sociale satirique où des femmes de ménage s’initient à la haute finance pour ne pas se faire expulser de leur quartier
The Proud Valley (1940)
Un très beau drame social qui offre à l’acteur afro-américain Paul Robeson sa plus belle prestation à l’écran… dans les mines galloises !
Blue Jean (2022)
Un portrait sensible d’une jeune femme lesbienne introvertie durant les années Thatcher alors qu’est promulguée la fameuse section 28 visant à limiter la « promotion » de l’homosexualité
Glorious 39 / Lady Keyes (2009)
Un thriller et drame familial qui s’inscrit dans la grande histoire, à la veille de la guerre, et propose une lecture originale et distinctive de la période, bien plus sombre qu’on nous la montre d’habitude.