Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Caveat (2020)
Un chouette film d’horreur indépendant où la forme l’emporte sur le fond, mais qui parvient à faire mouche grâce à son ambiance bien travaillée et un lapin mécanique d’anthologie.
Prevenge (2016)
Une jeune femme enceinte est poussée au meurtre par son bébé, désireux de se venger de la mort de son père. Un thriller horrifique qui baigne dans l’humour noir
Vampire Virus (2020)
Un film de vampires à la sauce eighties où le vampirisme est une parabole du sida. Mais ça ne suffit pas à rendre ce film fauché du multirécidiviste Charlie Steeds passionnant
The Keep / La forteresse noire (1983)
Massacré au montage, le deuxième film de Michael reste un conte métaphysique sur le mal fascinant qu’on rêve un jour de voir en intégralité et restauré comme il se doit
The Isle (2018)
Le mythe grec des sirènes délocalisé sur une île écossaise isolée au XIXe siècle, il fallait y penser, ils l’ont fait !
When the Lights Went Out (2012)
Basé sur des faits réels et conçu par un membre de la famille victime du poltergeist « le plus violent d’Angleterre ». Entre film d’horreur et drame social à l’anglaise, un mélange étonnant mais qui fonctionne assez bien.
Under the Skin (1997)
Avec son unique film à ce jour, Carine Adler signe un portrait poignant de deux soeurs qui doivent faire face au décès soudain de leur mère
Cleft Lip / Bec de lièvre (2018)
Un drame indépendant qui tente de moderniser l’histoire d’Oedipe Roi de Sophocle. Ambitieux mais pas toujours très convainquant
The Raven on the Jetty / Le corbeau sur la jetée (2015)
Un drame contemplatif et intimiste où un enfant silencieux depuis la rupture de ses parents, passe son premier week-end avec son père dans une ferme isolée
Slaughter High / Le jour des fous (1986)
Un slasher à l’américaine mais avec une pointe gothique et l’ex star de la Hammer Caroline Munro. Un bon divertissement qui ne se prend pas trop au sérieux et offre quelques meurtres bien gores
The Kindred (2021)
Un thriller bien fichu avec de petites doses horrifiques et fantastiques, porté par la performance de son actrice principale, April Pearson
Waking Ned / Vieilles canailles (1998)
Une chouette comédie à la sauce Ealing portée par un excellent duo d’acteurs (Ian Bannen et David Kelly). Un premier film très réussi
Biggles (1986)
Un film d’aventures très années 80 avec un soupçon de folie mais une réalisation et une interprétation trop plates pour qu’il réussisse son envol
Soft Top Hard Shoulder (1992)
A la fois road movie et comédie romantique, un film divertissant, écrit et interprété par Peter Capaldi avec une musique de Chris Rea.
What Rats Won’t Do (1998)
Une comédie romantique sympathique mais qui sur tous les points a du mal à rivaliser avec les grandes réussites du genre
Cradle of Fear (2001)
Un rare film gore britannique qui s’appuie sur la popularité du groupe metal Cradle of Filth. Quelques bonnes idées et la présence de Dani Filth compensent l’amateurisme ambiant
Let Me In / Laisse-moi entrer (2010)
Deux excellents jeunes acteurs transcendent ce drame horrifique et mélancolique où le vampirisme est une métaphore du passage à l’âge adulte.
The Disappearance of Alice Creed / La disparition d’Alice Creed (2009)
Des dialogues bien écrits, une tension maintenue jusqu’au bout et un chouette trio d’acteurs permettent à ce huis clos au pitch très classique de réussir son pari
The Girl in a Swing (1988)
Une romance passionnée qui vire au cauchemar avec de subtiles touches fantastiques, érotiques et horrifiques. Sûrement le meilleur film de Gordon Hessler avec une Meg Tilly sublime
It! (1967)
Une déclinaison très « hammerienne » du mythe du Golem avec une apparition rare du londonien Roddy McDowall dans un film britannique