Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
The Proud Valley (1940)
Un très beau drame social qui offre à l’acteur afro-américain Paul Robeson sa plus belle prestation à l’écran… dans les mines galloises !
Blue Jean (2022)
Un portrait sensible d’une jeune femme lesbienne introvertie durant les années Thatcher alors qu’est promulguée la fameuse section 28 visant à limiter la « promotion » de l’homosexualité
Glorious 39 / Lady Keyes (2009)
Un thriller et drame familial qui s’inscrit dans la grande histoire, à la veille de la guerre, et propose une lecture originale et distinctive de la période, bien plus sombre qu’on nous la montre d’habitude.
Enys Men (2022)
L’âme cornouaillaise transposée à l’écran par Mark Jenkin entre drame, film d’horreur et film expérimental. Le résultat est aussi hypnotisant que déconcertant
The Eternal Daughter (2022)
Joanna Hogg revient avec une dissection des relations mère/fille, portée par une Tilda Swinton impériale et une ambiance mystérieuse qui emprunte aux codes de l’horreur
My Name Is Alfred Hitchcock (2022)
Un documentaire souvent passionnant et original qui décortique avec minutie l’oeuvre d’Alfred Hitchcock par le maitre lui-même, spécialement revenu des morts pour s’adresser à son public !
The Devil’s Doorway (2018)
Partant de fais réels (les couvents catholiques irlandais pour femmes de « petite vertue »), les scénaristes rajoutent des éléments horrifiques presque superflus, mais « diablement » efficaces !
Luther: The Fallen Sun (2023)
Luther, le détective londonien incarné par Idriss Elba, fait son retour dans un film produit pour Netflix. Une bonne idée ?
Unwelcome (2022)
Un film d’horreur où des goblins sanguinaires et des dégénérés locaux s’en prennent à un jeune couple fuyant la violence urbaine pour s’installer dans la campagne irlandaise
The Son (2022)
Pour son deuxième film, deux ans après « The Father », le dramaturge français Florian Zeller s’essaie au mélo… et c’est le drame !
Empire of Light (2022)
Instantané d’une époque révolue ou peut-être pas tant que ça. Si la pellicule et les palais du 7e art ont quasiment disparu, les inégalités de la « vraie » vie restent
Blooomfield (1970)
Unique réalisation de Richard Harris, « Bloomfield » est une comédie dramatique où Harris joue le rôle d’un footballer en fin de carrière
Red, White and Zero (1967)
Trois courts métrages passionnants à différents titres et réalisés par trois des plus grands réalisateurs britanniques des années 60 (Brook, Anderson, Richardson)
The Ballad of Tam Lin (1971)
Inspiré d’une ballade du folklore écossais, un triangle amoureux malsain qui vire vers l’horreur, avec la légendaire Ava Gardner !
Legend of the Witches (1970)
Un documentaire souvent complaisant mais assez fascinant sur la sorcellerie telle qu’elle était vue et pratiquée par le « roi des sorciers », Alex Sanders
You Only Live Twice (1967)
Le cinquième James Bond, celui qui aurait dû être le dernier avec Sean Connery, voulait en mettre plein la vue… et c’est plutôt réussi.
Die Screaming Marianne (1971)
Un thriller déséquilibré mais pas inintéressant réalisé par le fameux Pete Walker avec Susan George et Leo Genn
Thunderball / Opération Tonnerre (1965)
Le quatrième Opus de James Bond (en quatre ans !) se démarque par des séances sous-marines. Des requins, mais aussi un peu de lassitude, pointent leur nez
Nightmare (1964)
Un thriller horrifique superbement mis en image par Freddie Francis et qui démontre encore une fois le savoir-faire de la Hammer
Their Finest / Une belle rencontre (2016)
Une comédie dramatique divertissante mais trop classique. Et une sacré insulte à l’âge d’or du cinéma britannique !