Films britanniques des années 60
Night of the Big Heat / La nuit de la grande chaleur (1967)
Un petit film de SF horrifique qui lorgne du côté de « Quatermass » et marque la dernière collaboration du trio Fisher-Lee-Cushing
Shalako (1968)
Shalako (1968) Un point de départ et un casting étonnants (Sean Connery et Brigitte Bardot) débouchent malheureusement sur un western banal et un peu longuet
The Penthouse (1967)
Un thriller en huis clos, inquiétant, glauque, mais avec une bonne dose d’humour absurde. Un mélange étonnant qui a parfois du mal à prendre
The Millionairess / Les dessous de la millionnaire (1960)
Une charmante petite comédie romantique désuète avec Sophia Loren et Peter Sellers, ça ne se refuse pas !
A Taste of Honey (1961)
Premier rôle pour Rita Tushingham dans un portrait touchant d’adolescente désoeuvrée pour ce classique de la nouvelle vague anglaise signé Tony Richardson
Girl with Green Eyes (1964)
Une romance mélancolique et douce-amère avec une réalisation réaliste-poétique très maitrisée de Desmond Davis et un excellent trio d’acteurs
Georgy Girl (1966)
Anti-héroïne du Swinging London, Georgy (brillamment interprétée par Lynn Redgrave) est un sacré bout de femme. Un joli portrait, souvent aussi drôle que cruel, d’une jeune femme atypique et d’une période mythique
The Pumpkin Eater / Le mangeur de citrouilles (1964)
Troisième film et troisième chef d’oeuvre de Jack Clayton, voici un film qui dissèque avec une précision remarquable la place de la femme en tant que mère, épouse mais également individu à part entière !
Age of Consent (1969)
Le dernier film de Michael Powell reste un grand moment de cinéma, un film au ton original porté par des décors naturels somptueux et un casting inoubliable
The Curse of the Mummy’s Tomb / Les maléfices de la momie (1964)
Film d’horreur, avec des pointes d’humour, ce deuxième film gothique égyptien de la Hammer vaut le coup d’oeil
School for Scoundrels / L’académie des coquins (1960)
Une satire réjouissante de la réussite à tout prix et des formules magiques de développement personnel. Avec un casting en or et Robert Hamer à la réalisation (pour la dernière fois)
The Terror of the Tongs / L’empreinte du dragon rouge (1961)
Christopher Lee obtient sa première tête d’affiche pour la Hammer dans un film d’aventures chinoises haut en couleurs
Maniac (1963)
Un thriller psychologique en Camargue produit par la Hammer ! Un scénario pas totalement convaincant mais une ambiance bien travaillée
Make Mine Mink / Un vison pour mademoiselle (1960)
Une comédie criminelle enlevée autour d’un gang d’improbables amateurs qui vole des fourrures pour les bonnes oeuvres !
The Full Treatment / Traitement de choc (1960)
Un bon thriller psychologique signé Val Guest pour la Hammer qui se déroule entre Londres et la Riviera. Le plus grand rôle de l’acteur gallois Ronald Lewis.
Psyche 59 (1964)
Samantha Eggar formidable, à la fois victime et bourreau, au coeur d’un drame psychologique sur les rapports dominants-dominés
Stranger in the House (1967)
Une adaptation de Simenon, dénonçant les hypocrisies de la bourgeoise de province, transcendé par un James Mason impérial
Tom Jones (1963)
Une brillante farce et satire de l’Angleterre du XVIIIe par l’un des maîtres de la nouvelle vague britannique, Tony Richardson. Quatre Oscars et un triomphe public mérités !
Dr. Who and the Daleks (1965)
La plus mythique des séries SF anglaises est portée sur grand écran deux ans après sa création. Malheureusement, le résultat est très primitif
West 11 (1963)
Une errance sombre dans le Notting Hill des sixties, une perle noire signée Michael Winner à découvrir sans tarder