Films sociaux britanniques
The Old Oak (2023)
A 87 ans, Ken Loach signe peut-être bien son dernier film. Mais après 60 ans de carrière, Loach a-t-il encore quelque chose à dire ?
Wild Bill (2011)
Un premier film maitrisé et sensible sur l’histoire d’un ex-criminel qui sort de prison et doit, à contrecoeur, faire face à ses devoirs paternels
When the Lights Went Out (2012)
Basé sur des faits réels et conçu par un membre de la famille victime du poltergeist « le plus violent d’Angleterre ». Entre film d’horreur et drame social à l’anglaise, un mélange étonnant mais qui fonctionne assez bien.
The Full Monty (1997)
L’une des plus célèbres comédies britanniques des années 90 est une belle réussite de mélange entre comédie et film social
Absolute Beginners (1986)
Bide monumental à sa sortie, cette super production mi-comédie musicale et mi-drame social a plutôt bien vieilli et mérite une seconde chance
A Taste of Honey (1961)
Premier rôle pour Rita Tushingham dans un portrait touchant d’adolescente désoeuvrée pour ce classique de la nouvelle vague anglaise signé Tony Richardson
Burning an Illusion (1981)
Un très beau portrait de femme noire britannique et le récit de son éveil politique dans l’Angleterre Thatchérienne
Tyrannosaur (2011)
Le premier film de Paddy Considine aborde la violence quotidienne, qu’elle soit dirigée contre soi-même ou les autres. Un sujet sensible traité avec retenue et justesse, avec deux grands acteurs
I.D. (1995)
Un classique du film de hooligans où quatre flics infiltrent un gang particulièrement violent. L’un d’entre eux se prête un peu trop au jeu !
VS. (2018)
Le portrait d’un jeune délinquant qui se trouve une identité et une raison d’être à travers les rap battles
Rocks (2019)
Un drame social plein de bonnes intentions, magnifiquement porté par ses acteurs amateurs, mais desservi par une réalisation maladroite
The Navigators (2001)
Un drame social typique de Ken Loach qui scrute à hauteur de travailleur l’impact de la privatisation des chemins de fer britanniques sur les cheminots et où l’humour et la camaraderie cèdent bientôt la place au drame
I Believe in You (1952)
Un drame social, souvent juste et parfois émouvant, sur le modèle de « The Blue Lamp » avec une toute jeune Joan Collins dans l’un de ses premiers rôles à l’écran
The Ragman’s Daughter (1972)
Alan Sillitoe fait son retour sur grand écran dix ans après ses scénarios mythiques pour la nouvelle vague britannique
Once a Jolly Swagman (1949)
Un film pour le moins surprenant, qui mixe les genres, où Dirk Bogarde interprète un jeune homme qui veut échapper à sa condition d’ouvrier en participant à des courses de moto.
Love on the Dole (1941)
L’un des premiers grands drames sociaux britanniques. Sorti en temps de guerre, le film se veut une ode aux masses ouvrières fortement malmenées pendant la grande dépression.
No Trees in the Street (1959)
Les bas fonds de l’East End londonien servent de décor à ce film mélangeant réalisme social et film noir mais souffrant d’un ton un peu moralisateur
Nil by Mouth (1997)
Un drame fort où une famille se retrouve tyrannisée par un homme alcoolique et violent… mais qui croit aimer les siens.
Raining Stones (1993)
Un drame poignant sur la lutte d’un chômeur qui, fier contre vents et marrées, veut payer une robe neuve pour la communion de sa fille.
Fish Tank (2009)
Un drame social fort avec un personnage lumineux et attachant porté par l’impressionnante Katie Jarvis, et superbement filmé par Andrea Arnold