Films sociaux britanniques
High-Rise (2015)
Un démontage dans les règles de la construction sociale hiérarchique et de la société de consommation.
Prostitute (1980)
Un portrait, sans glamour ni pathos, qui se veut réaliste de la prostitution à la fin des années 70. Mi-documentaire, mi-drame social, « Prostitute » offre un plaidoyer assez efficace pour la légalisation.
The Wind of Change (1961)
Une série B intéressante sur la frustration de la jeunesse d’après guerre, la violence qui en découle et qui se retourne contre les minorités raciales.
Hector (2015)
Un film social pas très réaliste mais porté par un Peter Mullan très à l’aise dans le rôle d’un SDF qui tente de se relever
My Beautiful Laundrette (1985)
Deux jeunes homosexuels en marge de la société pendant les années Thatcher tentent de s’en sortir. Leur combat est-il perdu d’avance ?
Kes (1969)
Deuxième film de Ken Loach qui avait déjà révolutionné la télévision britannique, « Kes » est l’un des plus réputés. A raison ?
London Kills Me (1991)
« London Kills Me » (1991). Une comédie dramatique qui tente de mêler fantaisie et réalisme pour traiter de la jeunesse paumée issue de l’ère Thatchérienne.
Saturday Night and Sunday Morning (1960)
« Saturday Night, Sunday Morning » (1960). Un film qui a marqué l’histoire du cinéma britannique par sa vision réaliste de la condition ouvrière et de la génération d’après guerre.
Little Voice (1998)
Une comédie musicale et sociale à l’anglaise pas si mièvre que ça et littéralement portée par l’interprétation de Jane Horrocks.
Sleepwalker (1984)
Une satire sociale sous forme de film d’horreur. Un moyen métrage de 1984 longtemps oublié redécouvert à la fin des années 90
London Belongs to Me (1948)
Un film chorale ambitieux et réussi, notamment grâce à un casting exemplaire, dans le Londres de la fin des années 30
Seacoal / Les charbonniers de la mer (1985)
Entre fiction et documentaire, « Seacoal » nous propose une histoire poignante et profondément humaine d’une poésie brute.
That Sinking Feeling (1979)
Des jeunes désenchantés dans un Glasgow plongé dans la grisaille. Un drame social? Non, une comédie débridée.
The Ruling Class / Dieu et mon droit (1972)
Peter O’Toole entre Dieu et le diable. Une satire féroce et très réussie de l’aristocratie britannique.
Ratcatcher (1999)
Noir c’est noir. Une enfance entre misère, mort et culpabilité. Réaliste et poétique ou juste profondément glauque ?
The Selfish Giant / Le géant égoïste (2013)
Du réalisme social qui en fait trop pour être honnête, « Le Géant Egoïste » est une oeuvre si glauque qu’elle se décroche de la réalité.
The Acid House (1998)
Comédie « welshienne » en roue libre, « The Acid House » ne le réconciliera pas avec ses détracteurs.
Babylon (1980)
Un film dur sur le racisme quotidien et la pauvreté dans le Londres de la fin des 70s. Egalement un portrait saisissant sur la communauté jamaïcaine sur fond de reggae.
This Sporting Life / Le prix d’un homme (1963)
Drame social magistral et poignant signé Lindsay Anderson avec un Richard Harris fabuleux en géant arrogant.
Woman in a Dressing Gown (1957)
Un merveilleux mélodrame réaliste, signé J. Lee-Thomson qui annonce les films sociaux des années 60