Films romantiques britanniques
A Place of One’s Own (1945)
Entre romance et film de fantôme, une curiosité où l’on voit également un jeune James Masson jouer un vieux retraité !
Miracle in Soho (1957)
Ecrite par Emeric Pressburger, une jolie romance naïve dans le quartier de Soho. Une lettre d’amour à un Londres qui n’existe déjà plus
The Yellow Rolls-Royce / La Rolls-Royce Jaune (1964)
Des histoires d’amour malheureuses et une Rolls-Royce jaune. Le tout écrit par Terence Rattigan et filmé par Anthony Asquith avec un casting en or ! So old school but so charming!
The Ragman’s Daughter (1972)
Alan Sillitoe fait son retour sur grand écran dix ans après ses scénarios mythiques pour la nouvelle vague britannique
Robin and Marian / La rose et la flèche (1976)
Un Robin des Bois vieillissant retourne à Sherwood. Une excellente romance douce-amère et une comédie dramatique existentielle à ne pas manquer
Vita & Virginia (2018)
Un joli film sur une passion dévorante entre deux grandes écrivaines. Mais les dialogues, trop littéraires, risquent de lasser une bonne partie du public
Left Right and Centre (1959)
Un candidat conservateur et son adversaire travailliste tombent amoureux en pleine campagne pour les élections ! Une jolie comédie romantique gentiment satirique
Betrayal / Trahisons conjugales (1983)
Une relation adultère disséquée avec un brin de cruauté par Harold Pinter. Un trio d’acteurs épatant mais une réalisation paresseuse
Never Let Me Go (2010)
Un drame humain parfois éprouvant basé sur un postulat terrifiant et qui relève pour l’instant encore de la SF. L’ensemble reste sobre, mais fait froid dans le dos
The Heart of the Matter / Le fond du problème (1953)
Une romance noire adaptée de Graham Greene qui dresse un portrait peu reluisant de la vie dans les colonies et d’un homme rongé par la culpabilité
My Son the Fanatic (1997)
Un film poignant avec son personnage central, un chauffeur de taxi pakistanais, débordant d’humanité et excellemment interprété par Om Puri
Circle of Danger / L’enquête est close (1951)
Un drame mâtiné de romance plutôt qu’un thriller, « Circle of Danger » n’échappe pas à l’ennui malgré un dénouement intéressant et de bons acteurs
Forget Me Not (1936)
« Forget me not » est une romance touchante et efficace qui plaira particulièrement aux amateurs d’opéra.
Wedding Rehearsal / Maryrose et Rosemary (1932)
Une satire de la haute société britannique, et de la fascination des britanniques pour les mariages aristocratiques, finement réalisée par Alexander Korda
Hell is Sold Out (1951)
Une petite comédie romantique sympathique qui vaut surtout pour ses trois acteurs principaux (Mai Zetterling, Herbert Lom et Richard Attenborough)
The House of Mirth / Chez les heureux du monde (2000)
Sous des faux aires de mélo, une satire au scalpel des codes sociaux hypocrites de la haute société. Une réalisation inspirée de Terence Davies et une interprétation bluffante de Gillian Anderson
Mary Shelley (2017)
Une histoire prometteuse salopée par une armée de producteurs et une réalisatrice aux fraises. A oublier avant même de l’avoir vu !
The V.I.P.s . / Hôtel international (1963)
Un générique impressionnant qui donne un film d’ensemble sympathique mais anecdotique
Sylvia (2003)
Un biopic consacré à un couple mythique de poètes. La prestation des interprètes ne sauve pas un scénario discutable et une réalisation sans âme.
The Demi-Paradise / L’étranger (1943)
Une comédie romantique de propagande qui lance un plaidoyer pour le rapprochement entre l’Angleterre et la Russie. Très drôle et bien vu !