Comédies britanniques au cinéma
Come Play with Me (1977)
L’un des plus grands succès des années 70 au Royaume-Uni est une comédie érotique à tout petit budget, dont la star Mary Millington n’est présente que quelques minutes à l’écran
Rome Express (1932)
» Rome Express »est un excellent thriller dans le style de “The Lady Vanishes” d’Hitchcock mais sorti six ans plus tôt !
The Magnet / L’aimant (1950)
Une comédie Ealing un peu oubliée mais très réussie avec une petite pointe de satire et de noirceur. Avec un tout jeune et déjà brillant James Fox (alors âgé de 10 ans)
Warn That Man (1943)
Des Allemands envoient un acteur raté en Angleterre pour un plan machiavélique visant à enlever Churchill. Une idée intrigante mais une exécution médiocre
Churchill: The Hollywood Years (2004)
Une parodie des films d’action hollywoodiens avec quelques bonnes idées de départ noyées dans un script pas vraiment drôle
Absolutely Anything (2015)
Une comédie SF signée Terry Jones, ça ne se refuse pas. Malheureusement le résultat n’est pas à la hauteur des espérances, en dépit d’un sacré casting et de quelques moments drôles !
Catch Me a Spy / Les doigts croisés (1971)
Une comédie d’espionnage dans la moyenne du genre mais avec un sacré duo, Kirk Douglas et Marlène Jobert !
Life of Brian (1979)
Monty Python Life of Brian (La vie de Brian), l’une des meilleures comédies britanniques de tous les temps, a pourtant failli ne jamais voir le jour
Penny Paradise (1938)
Une chouette comédie, signée par Carol Reed, avec une sacrée brochette de personnages issue des quartiers populaires de Liverpool
The Ghost of St. Michael’s (1941)
Une bonne comédie avec un Will Hay en forme qui participe à l’effort de guerre en chassant des fantômes meurtriers voire des nazis
A King in New York / Un roi à New York (1957)
Une satire féroce de l’Amérique consumériste et maccarthyste par un Charlie Chaplin exilé acerbe, anarchique et rebelle. Un film imparfait mais passionnant
You Lucky People (1955)
Une comédie sur les réservistes dans la moyenne du genre qui marquait le grand retour de la star du music hall Tommy Trinder
School for Scoundrels / L’académie des coquins (1960)
Une satire réjouissante de la réussite à tout prix et des formules magiques de développement personnel. Avec un casting en or et Robert Hamer à la réalisation (pour la dernière fois)
Black Joy (1977)
Une comédie sur la communauté jamaïcaine du quariter de Brixton à Londres. Léger mais pas sans arrière pensée sociale et politique. Une jolie réussite !
Make Mine Mink / Un vison pour mademoiselle (1960)
Une comédie criminelle enlevée autour d’un gang d’improbables amateurs qui vole des fourrures pour les bonnes oeuvres !
A Severed Head (1971)
Une comédie de moeurs grinçante sur les perversions et l’hypocrisie de la haute bourgeoisie. Un beau casting mais quelques longueurs
Tom Jones (1963)
Une brillante farce et satire de l’Angleterre du XVIIIe par l’un des maîtres de la nouvelle vague britannique, Tony Richardson. Quatre Oscars et un triomphe public mérités !
Stage Fright / Le grand alibi (1950)
Une très bonne comédie criminelle un peu trop vite oubliée dans la filmographie d’Alfred Hitchcock et qui marquait son grand retour à Londres
Eat the Rich (1987)
Une farce sociale punk et anarchiste s’il en est, dont le titre est à prendre au premier degré. Avec en plus un casting rock’n’roll !
Hot Millions (1968)
Peter Ustinov parfait en escroc qui doit se mettre au goût du jour et se faire passer pour un programmeur. Drôle et désuet avec également Maggie Smith et Karl Maiden