Films criminels britanniques
Face (1997)
Un très chouette polar avec une touche sociale. Robert Carlyle au sommet de sa forme et une réalisation assurée de la trop rare Antonia Bird
Harry Brown (2009)
Un revenge movie bien glauque qui se déroule dans un East End apocalyptique. Michael Caine est impérial.
No Orchids for Miss Blandish / Pas d’orchidées pour Miss Blandish (1948)
Un excellent film noir à l’américaine mais pourtant bien 100% britannique à l’exception de l’acteur Jack La Rue. Sombre et violent, le film fit scandale à sa sortie
The Snorkel / L’homme au masque de verre (1958)
Un thriller méconnu de la Hammer où une adolescente décidée affronte son beau-père, assassin aussi cruel qu’ingénieux
Bellman and True (1987)
Un film de braquage réussi, plus psychologique que la moyenne du genre, avec un excellent Bernard Hill dans le rôle principal
Layer Cake (2004)
Un thriller criminel qui emprunte sans vergogne les méthodes de Guy Ritchie et Tarantino, mais le fait bien. On passe un bon moment avec un casting cinq étoiles
Let Him Have It / L’âge de vivre (1991)
Un plaidoyer efficace contre la peine de mort, tiré d’un scandale judiciaire de l’après-guerre. L’un des tous meilleurs rôles de Christopher Eccleston
City of Tiny Lights (2016)
Un hommage un peu trop appuyé aux grands films noirs, parfois maladroit, mais bien porté par son ambiance et son casting
Stranger in the House (1967)
Une adaptation de Simenon, dénonçant les hypocrisies de la bourgeoise de province, transcendé par un James Mason impérial
The Gentlemen (2019)
Un film de gangster qui se croit beaucoup plus intelligent et hype qu’il ne l’est. Guy Ritchie loupe son coup malgré un casting alléchant
A Day of Violence (2010)
Un film de gangsters aussi gore que le budget est minuscule. Pour spectateurs très avertis et amoureux de charcuterie !
West 11 (1963)
Une errance sombre dans le Notting Hill des sixties, une perle noire signée Michael Winner à découvrir sans tarder
Cloudburst (1951)
Un cryptologue respecté, ancien résistant, va balayer toute morale pour venger la mort de sa femme. Un revenge movie efficace et dur, même s’il aurait bénéficié d’un peu plus de dynamisme et de moins de bavardage
Murder Without Crime (1950)
Le premier film de J. Lee-Thompson est un film noir qui se regarde sans déplaisir et bénéficie de la présence de Dennis Price
Starred Up / Les poings contre les murs (2013)
Un film de prison, âpre mais humain, porté par un duo d’acteurs au top (Jack O’Connell et Ben Mendelsohn), un scénario réaliste et une réalisation tirée au cordeau
The Bitch (1979)
Joan Collins dans le rôle d’une reine de la nuit nymphomane et manipulatrice sur fond de musique disco !
Maria Marten, or The Murder in the Red Barn (1935)
La première apparition à l’écran de Tod Slaughter qui signe des débuts remarqués dans le rôle d’un vil seigneur prêt à commettre l’indicible par cupidité
Sweeney Todd: The Demon Barber of Fleet Street (1936)
Tod Slaughter, l’un des méchants favoris du Londres des années 30, ici dans la peau du légendaire barbier serial Killer
Sexy Beast (2000)
Un film culte entre romance, thriller et comédie qui a lancé la carrière du réalisateur Jonathan Glazer. Avec Ray Winstone et Ben Kingsley en très grande forme
I Believe in You (1952)
Un drame social, souvent juste et parfois émouvant, sur le modèle de « The Blue Lamp » avec une toute jeune Joan Collins dans l’un de ses premiers rôles à l’écran