Films dramatiques britanniques
VS. (2018)
Le portrait d’un jeune délinquant qui se trouve une identité et une raison d’être à travers les rap battles
The Browning Version / Les leçons de la vie (1994)
Une modernisation assez réussie de la célèbre pièce de Rattigan mais qui vaut surtout pour la composition d’Albert Finney
Only You (2018)
Un drame sensible sur l’infertilité féminine et ses conséquences sur un couple. Jolie alchimie à l’écran entre Laia Costa et Josh O’Connor
Rocks (2019)
Un drame social plein de bonnes intentions, magnifiquement porté par ses acteurs amateurs, mais desservi par une réalisation maladroite
Bait (2019)
Un film formellement audacieux qui ne tombe pas dans l’exercice de style et démontre une véritable maitrise et puissance.
Secret Lives (1937)
Le destin tragique d’une jeune allemande manipulée par les services secrets français durant la première guerre mondiale ! Une réalisation baroque et une sacrée présence à l’écran de Brigitte Horney
The Bostonians / Les Bostoniennes (1984)
Adaptant un roman d’Henry James, le trio Ivory/Merchant/Prawer Jhabvala nous livre un mélo longuet avec des personnages horripilants
The Navigators (2001)
Un drame social typique de Ken Loach qui scrute à hauteur de travailleur l’impact de la privatisation des chemins de fer britanniques sur les cheminots et où l’humour et la camaraderie cèdent bientôt la place au drame
Institute Benjamenta, or This Dream That One Calls Human Life (1995)
Un conte de fées sombre et difficile d’accès mais hypnotisant dû au génie atypique des frères Quay
Starred Up / Les poings contre les murs (2013)
Un film de prison, âpre mais humain, porté par un duo d’acteurs au top (Jack O’Connell et Ben Mendelsohn), un scénario réaliste et une réalisation tirée au cordeau
The Entertainer / Le cabotin (1960)
Brillant portrait d’un artiste du music hall, cabotin et escroc, qui tente de survivre à la déchéance de sa profession. Une composition mémorable de Laurence Olivier dans un film de la nouvelle vague anglaise
The Lonely Passion of Judith Hearne (1987)
Portrait terrible d’une femme rongée par la solitude, l’un des plus beaux rôles de Maggie Smith et dernier film réalisé par le grand Jack Clayton
I Believe in You (1952)
Un drame social, souvent juste et parfois émouvant, sur le modèle de « The Blue Lamp » avec une toute jeune Joan Collins dans l’un de ses premiers rôles à l’écran
Champions (1984)
Le récit véridique d’un jockey qui a vaincu le cancer pour remporter la plus prestigieuse course à obstacles, le Grand National. Une prestation mémorable de John Hurt
The Queen of Spades / La reine des cartes (1949)
Un film sur la convoitise basé sur la célèbre nouvelle de Pouchkine. Des images sublimes et un casting hors pair
Absolution (1978)
Richard Burton dans le rôle d’un père catholique rongé par la culpabilité quand un de ses élèves lui confesse un meurtre. Un thriller oublié des années 70
Miracle in Soho (1957)
Ecrite par Emeric Pressburger, une jolie romance naïve dans le quartier de Soho. Une lettre d’amour à un Londres qui n’existe déjà plus
The Ragman’s Daughter (1972)
Alan Sillitoe fait son retour sur grand écran dix ans après ses scénarios mythiques pour la nouvelle vague britannique
Stan & Ollie (2018)
Steve Coogan et John C. Reilly livrent de superbes interprétations du duo comique le plus célèbre du cinéma. Un film très émouvant sur une amitié légendaire
Sket (2011)
Une plongée dans la jungle urbaine londonienne peu convaincante. Pourtant le point de vue, une ado qui participe à un gang de filles, était plus original que la moyenne





















