Films d’horreur britanniques
An English Haunting (2020)
Un film de maison hantée raté à cause d’un scénario confus et d’un personnage principal peu crédible
Death Ranch (2020)
Un film britannique qui emprunte au cinéma américain des seventies, entre blaxploitation et film de rednecks, en y ajoutant une bonne dose de gore !
The Reckoning / Sorcière (2020)
Neil Marshall nous sert un drame horrifique gentiment féministe mais peu crédible qui s’adresse surtout aux adolescents ou jeunes adultes pas trop regardants
A Werewolf in England (2020)
Une comédie horrifique de série Z mais au moins il y a bien des acteurs qui portent des costumes de loups garous, c’est déjà ça
The League of Gentlemen’s Apocalypse (2005)
Une adaptation cinématographique de la célèbre série, reine de l’humour noir. Malheureusement le résultat est plutôt laborieux
Censor (2021)
En pleine période du phénomène des « video nasties », une censeuse perd les pédales. Un film d’horreur psychologique un peu trop classique sur une idée prometteuse.
Corridors of Blood (1958)
Une description brutale de la misère des quartiers populaires londoniens pendant la période victorienne marquée aussi par la rencontre de deux géants : Boris Karloff et Christopher Lee
The Asphyx / L’esprit de la mort (1972)
Trop d’improbabilités psychologiques gâchent une belle ambiance gothique victorienne où la passion de l’époque pour les images et la mort s’entrecroisent
The Legacy (1978)
Une tentative ratée de marcher sur les pas de « The Omen » mais un whodunit à la Agatha Christie plaisant avec une touche d’horreur
Saint Maud (2019)
Une jeune infirmière veut sauver l’âme de sa patiente en fin de vie. Terrifiant et une superbe prestation de Morfydd Clark
His House (2020)
Un drame humain fort sur la trajectoire d’un couple de réfugiés, sous la forme d’un film d’horreur. Un pari audacieux réussi
The Owners (2020)
Un film criminel qui vire vers l’horreur avec Sylvester McCoy et Rita Tushingham dans le rôle d’un couple inquiétant,
Benny Loves You / Benny t’aime très fort (2019)
Une comédie gore irrésistible avec son doudou serial killer très convaincant. Un excellent premier film signé Karl Holt (qui a presque fait le film tout seul)
Candyman (1992)
Un film d’horreur culte, l’un des premiers à mettre en image les légendes urbaines (celle-ci étant imaginée de toutes pièces par le liverpuldien Clive Barker)
Night of the Big Heat / La nuit de la grande chaleur (1967)
Un petit film de SF horrifique qui lorgne du côté de « Quatermass » et marque la dernière collaboration du trio Fisher-Lee-Cushing
Host (2020)
Le film d’horreur de la génération Zoom, c’est à dire de nous tous qui en 2020 avons été obligés de virtualiser nos relations sociales
Boys from County Hell (2020)
Une comédie horrifique distrayante où l’on rencontre l’ancêtre de Dracula caché dans un village irlandais
Under the Shadow (2016)
Un film d’horreur qui dresse un portrait d’une société iranienne de la fin des années 80 en pleine turbulence où les femmes sont les premières cibles. Une belle surprise
Satan’s Slave (1976)
Le premier film d’exploitation horrifique de Norman J. Warren est une fort sympathique variation sur le thème de la sorcellerie
Inseminoid (1981)
Un film d’horreur SF qui vaut beaucoup mieux que sa réputation, notamment grâce à la prestation de Judy Geeson et la réalisation de Norman J. Warren





















