Films criminels britanniques
City of Tiny Lights (2016)
Un hommage un peu trop appuyé aux grands films noirs, parfois maladroit, mais bien porté par son ambiance et son casting
Stranger in the House (1967)
Une adaptation de Simenon, dénonçant les hypocrisies de la bourgeoise de province, transcendé par un James Mason impérial
The Gentlemen (2019)
Un film de gangster qui se croit beaucoup plus intelligent et hype qu’il ne l’est. Guy Ritchie loupe son coup malgré un casting alléchant
A Day of Violence (2010)
Un film de gangsters aussi gore que le budget est minuscule. Pour spectateurs très avertis et amoureux de charcuterie !
West 11 (1963)
Une errance sombre dans le Notting Hill des sixties, une perle noire signée Michael Winner à découvrir sans tarder
Cloudburst (1951)
Un cryptologue respecté, ancien résistant, va balayer toute morale pour venger la mort de sa femme. Un revenge movie efficace et dur, même s’il aurait bénéficié d’un peu plus de dynamisme et de moins de bavardage
Murder Without Crime (1950)
Le premier film de J. Lee-Thompson est un film noir qui se regarde sans déplaisir et bénéficie de la présence de Dennis Price
Starred Up / Les poings contre les murs (2013)
Un film de prison, âpre mais humain, porté par un duo d’acteurs au top (Jack O’Connell et Ben Mendelsohn), un scénario réaliste et une réalisation tirée au cordeau
The Bitch (1979)
Joan Collins dans le rôle d’une reine de la nuit nymphomane et manipulatrice sur fond de musique disco !
Maria Marten, or The Murder in the Red Barn (1935)
La première apparition à l’écran de Tod Slaughter qui signe des débuts remarqués dans le rôle d’un vil seigneur prêt à commettre l’indicible par cupidité
Sweeney Todd: The Demon Barber of Fleet Street (1936)
Tod Slaughter, l’un des méchants favoris du Londres des années 30, ici dans la peau du légendaire barbier serial Killer
Sexy Beast (2000)
Un film culte entre romance, thriller et comédie qui a lancé la carrière du réalisateur Jonathan Glazer. Avec Ray Winstone et Ben Kingsley en très grande forme
I Believe in You (1952)
Un drame social, souvent juste et parfois émouvant, sur le modèle de « The Blue Lamp » avec une toute jeune Joan Collins dans l’un de ses premiers rôles à l’écran
Breakdown (2016)
Le sang coule en même quantité à l’écran que les larmes de douleur des spectateurs devant un film aussi affligeant… C’est dire !
The Ragman’s Daughter (1972)
Alan Sillitoe fait son retour sur grand écran dix ans après ses scénarios mythiques pour la nouvelle vague britannique
Night Must Fall (1964)
Quatre ans après « Saturday Night and Sunday Morning », Albert Finney retrouve Karel Reisz pour incarner un psychopathe dans un thriller malsain injustement oublié !
Sket (2011)
Une plongée dans la jungle urbaine londonienne peu convaincante. Pourtant le point de vue, une ado qui participe à un gang de filles, était plus original que la moyenne
The Boys (1962)
Quatre jeunes sur le banc des accusés pour meurtre. Un film réussi sur la jeunesse défavorisée des années 60. Les sixties ne swinguent pas pour tous !
The Young Poisonner’s Handbook (1995)
Un film de serial killer original qui suit un jeune homme fasciné par le poison et ses effets sur ses victimes. Avec une touche d’humour noir glaçante !
Circus of Fear / Le cirque de la peur (1966)
Un whodunnit sympathique enfin disponible en version intégrale et en couleurs ! Avec un Christopher Lee… cagoulé !