Films britanniques des années 80
Biggles (1986)
Un film d’aventures très années 80 avec un soupçon de folie mais une réalisation et une interprétation trop plates pour qu’il réussisse son envol
The Girl in a Swing (1988)
Une romance passionnée qui vire au cauchemar avec de subtiles touches fantastiques, érotiques et horrifiques. Sûrement le meilleur film de Gordon Hessler avec une Meg Tilly sublime
Unmasked Part 25 (1988)
Une comédie romantique horrifique où Ja(ck)son, épuisé par sa vie de serial killer, est prêt à tout lâcher pour une romance avec une jeune aveugle. L’amour vaincra-t-il ?
Hellraiser / Le pacte (1987)
Un film d’horreur culte qui a bouleversé le genre à jamais. Clive Barker apporte du sang neuf au genre, avec un gore assumé et sans aucun second degré
Lifeforce (1985)
Des vampires de l’espace envahissent la Terre, et c’est un sacré bordel, particulièrement jouissif et culte.
House of the Long Shadows / Le manoir de la peur (1983)
Un film mythique qui réunit quatre grandes stars de l’horreur gothique et le réalisateur Pete Walker, tout ça financé par la Cannon !
Killing Dad or How to Love Your Mother (1989)
Une comédie noire un bin trop froide et décalée avec ses personnages égarés mais avec un formidable casting.
Prisoners of the Lost Universe (1983)
Un petit film fantastique fauché mais sympathique, tourné en Afrique du Sud avec un trio d’acteurs américains qu’on voit alors sur tous les écrans
Bloodbath at the House of Death (1984)
Prenez une grosse dose d’humour potache, des meurtres assez inventifs, Vincent Price, mélangez et vous obtenez un sacré ofni (objet filmique non identifié)
She’ll Be Wearing Pink Pyjamas (1985)
Une jolie comédie dramatique sur la solidarité féminine, portée par un casting convaincant dont Julie Walters
The Doctor and the Devils (1985)
Quatrième adaptation des aventures criminelles de Burke et Hare, le film penche vers le drame historique, filmé avec rigueur par Freddie Francis et profitant d’un beau casting
The Wicked Lady / La dépravée (1983)
Un remake d’un classique de la Gainsborough qui vaut bien mieux que sa triste réputation. Michael Winner est en forme tout comme Faye Dunaway, exquise en créature amorale
Dream Demon (1988)
Un film de maison hantée réussi avec un personnage central crédible et intéressant mais qui ne fait jamais la part entre rêve et réalité
Sahara (1983)
Un film d’aventures et une romance à la gloire de la beauté de Brooke Shields qui tente de mélanger différentes recettes à succès… en vain.
Cal (1984)
Une romance trouble sur fond des événements en Irlande du Nord. Un film remarquable et touchant à redécouvrir
A Month in the Country (1987)
Un beau film qui traite de la première guerre mondiale avec une subtilité rarement vue à l’écran et interprété avec sensibilité par des jeunes acteurs prometteurs
Cold Light of Day (1989)
Une jeune réalisatrice de 21 ans signe un premier film sur le serial killer Des Nilsen quelques années après les faits. Une production sans budget mais audacieuse
The Emerald Forest (1985)
Une fable humaniste plus qu’écologiste réalisée par un John Boorman au sommet de sa forme
Highlander (1986)
Un film d’aventures fantastique culte so eighties. Une couche d’auto-dérision sauve in extremis « Highlander » du ridicule. Un plaisir coupable pour tous les nostalgiques
Inseminoid (1981)
Un film d’horreur SF qui vaut beaucoup mieux que sa réputation, notamment grâce à la prestation de Judy Geeson et la réalisation de Norman J. Warren





















