Comédies dramatiques britanniques
The Party (2017)
Une comédie noire délicieuse signée Sally Potter avec des acteurs tous formidables… mais trop courte !
Charlie Bubbles (1968)
Un écrivain riche et célèbre est submergé par l’ennui. Albert Finney joue le rôle principal dans sa seule réalisation. A (re)découvrir !
The Yellow Rolls-Royce / La Rolls-Royce Jaune (1964)
Des histoires d’amour malheureuses et une Rolls-Royce jaune. Le tout écrit par Terence Rattigan et filmé par Anthony Asquith avec un casting en or ! So old school but so charming!
Somers Town (2008)
Une histoire d’amitié entre deux adolescents marginaux qui découvrent ensemble l’amour. Un doux parfum de mélancolie et une grande dose d’humanité imparfaite et donc touchante.
Calendar Girls (2003)
Une comédie mélodramatique sans surprise mais plaisante qui bénéficie d’un casting solide (Helen Mirren et Julie Walters y forment un joli duo)
Orlando (1992)
Une magnifique adaptation d’un roman dramatico-fantastique à priori inadaptable de Virginia Woolf. L’un des meilleurs rôles de Tilda Swinton
Burn Burn Burn (2015)
Un road trip au féminin qui verse dans le mélo existentiel mais reste juste. Avec deux formidables interprètes (Laura Carmichael et Chloe Pirrie) et son lot de personnages excentriques
Funny Cow (2017)
Portrait d’une femme résiliente pour qui le rire est l’unique mode de survie. Une interprétation incandescente de Maxine Peake
The Favourite / La favorite (2018)
Un étrange film, maladroit, qui agace autant qu’il fascine. Mais il y a bien sûr la prestation royale d’Olivia Colman !
Comfort and Joy (1984)
Une excellente comédie douce amère sur la crise de la quarantaine avec un Bill Paterson impeccable.
My Son the Fanatic (1997)
Un film poignant avec son personnage central, un chauffeur de taxi pakistanais, débordant d’humanité et excellemment interprété par Om Puri
Hell is Sold Out (1951)
Une petite comédie romantique sympathique qui vaut surtout pour ses trois acteurs principaux (Mai Zetterling, Herbert Lom et Richard Attenborough)
Joanna (1968)
Une fantaisie acide sur la perte des illusions, une capsule temporelle de la fin des années 60 portée par la débutante Geneviève Waïte.
Leo The Last / Leo le dernier (1970)
Quatrième film de John Boorman, « Leo The Last » est le portrait ironique d’un riche idéaliste qui retrouve la raison de vivre en aidant une famille pauvre de sa rue.
Wish You Were Here / Too Much ! (1987)
Un joli portrait d’une jeune fille atypique, interprété avec brio et incandescence par Emily Lloyd, dont c’est la première apparition à l’écran
The V.I.P.s . / Hôtel international (1963)
Un générique impressionnant qui donne un film d’ensemble sympathique mais anecdotique
A day in the death of Joe Egg (1972)
Un couple avec un enfant plongé dans un état végétatif se déchire. Un sujet délicat traité sans fard mais avec l’humour du désespoir.
Three Billboards Outside Ebbing, Missouri (2017)
Une comédie dramatique au ton très noir qui détourne intelligemment les codes du cinéma américain
The National Health (1973)
Une comédie dramatique acide, pas seulement sur le système de santé, mais sur l’ensemble de la société britannique des années 70.
Providence (1977)
« Providence » est un film étonnant signé Alain Resnais avec un casting en or, pas forcément facile d’accès, mais qui vaut le coup d’oeil (et d’oreille).





















