Films dramatiques britanniques
Lady Macbeth / The Young Lady (2016)
Que se passe-t-il quand une jeune femme mariée contre son gré décide de recouvrer sa liberté, quitte à devenir un monstre ? Un film fort et dur porté par une révélation, Florence Pugh
The Guinea Pig (1948)
L’odyssée tragi-comique d’un élève issu des classes moyennes propulsé dans une école publique élitiste. Un film audacieux et polémique pour l’époque, réalisé et produit par les frères Boulting
The Wreck Of The Mary Deare / Cargaison dangereuse (1959)
Grosse production de la MGM, un thriller en mer qui souffre de quelques déséquilibres mais bénéficie de belles séquences en mer et d’un casting royal
The Survivalist (2015)
Un drame SF glaçant autour de trois personnages plongés dans une logique exclusive de survie
The Hunger / Les prédateurs (1983)
Un film de vampires contemporain et stylisé qui vaudra à Tony Scott les ires de la critique. Pourtant « The Hunger » a plutôt bien vieilli et reste fascinant par son esthétique et ses acteurs principaux
Malachi’s Cove / La crique de Malachi (1973)
Un joli drame porté par le duo touchant entre Donald Pleasence et Veronica Quilliga, seuls face à l’adversité de la nature et des hommes
When the Lights Went Out (2012)
Basé sur des faits réels et conçu par un membre de la famille victime du poltergeist « le plus violent d’Angleterre ». Entre film d’horreur et drame social à l’anglaise, un mélange étonnant mais qui fonctionne assez bien.
Cleft Lip / Bec de lièvre (2018)
Un drame indépendant qui tente de moderniser l’histoire d’Oedipe Roi de Sophocle. Ambitieux mais pas toujours très convainquant
The Kindred (2021)
Un thriller bien fichu avec de petites doses horrifiques et fantastiques, porté par la performance de son actrice principale, April Pearson
The Girl in a Swing (1988)
Une romance passionnée qui vire au cauchemar avec de subtiles touches fantastiques, érotiques et horrifiques. Sûrement le meilleur film de Gordon Hessler avec une Meg Tilly sublime
True Things (2021)
Une romance dramatique sensible et portée par Ruth Wilson en femme déstabilisée par la rencontre d’un bel inconnu (trop ?) mystérieux
The Ship That Died of Shame (1955)
Un ancien bateau de guerre est utilisé pour faire de la contrebande mais les événements prennent un tour dramatique. Un film noir original et réussi avec une légère touche de fantastique.
Cry, the Beloved Country (1951)
Le premier film à dénoncer l’apartheid est un mélodrame fort et juste, filmé en grande partie en Afrique du Sud, avec un casting exceptionnel. Un grand classique injustement méconnu !
The Prisoner/ L’emprisonné (1955)
Un face à face impressionnant entre Alec Guinness et Jack Hawkins, dirigé par Peter Glenville, dénonçant les dogmes idéologiques et religieux (ce qui lui a valu plusieurs bannissements et accusations de parti-pris)
All Coppers Are… (1972)
Entre drame social, romance cruelle et film criminel, « All Coppers Are… » semble également hésiter entre une approche old school et moderne. Un résultat inégal mais intéressant
The Awakening / La maison des ombres (2011)
Une ambiance très réussie, d’excellents acteurs mais un scénario qui tire un peu trop sur la crédulité du spectateur
Under the Skin (1997)
Avec son unique film à ce jour, Carine Adler signe un portrait poignant de deux soeurs qui doivent faire face au décès soudain de leur mère
The Raven on the Jetty / Le corbeau sur la jetée (2015)
Un drame contemplatif et intimiste où un enfant silencieux depuis la rupture de ses parents, passe son premier week-end avec son père dans une ferme isolée
Let Me In / Laisse-moi entrer (2010)
Deux excellents jeunes acteurs transcendent ce drame horrifique et mélancolique où le vampirisme est une métaphore du passage à l’âge adulte.
Settlers (2021)
Un western SF à l’image de ses décors naturels, d’une beauté glaciale et mélancolique où les signes de vie sont presque des anomalies