Films dramatiques britanniques
Whore (1991)
Un an après la sortie de « Pretty Woman », Ken Russell déglamorise la prostitution avec le portrait glacial d’une prostituée ordinaire, superbement interprétée par Theresa Russell
Perfect Sense (2011)
Une romance sur fond de pandémie mondiale où les gens perdent leurs sens l’un après l’autre. Au-delà de l’actualité inattendue du sujet dix ans après sa sortie, un film mémorable réalisé par David Mackenzie
Black Smoke Rising / L’amertume des cendres (2012)
Un road movie stylisé sur fond de deuil et de quête de rédemption. Une jolie ambiance bluesy desservie par quelques maladresses et un manque de moyens
Archipelago (2010)
Le deuxième film de Joanna Hogg laisse le spectateur deviner les histoires qui se cachent derrière ses personnages qui sont autant d’îles à la fois proches et si éloignées
Saint Maud (2019)
Une jeune infirmière veut sauver l’âme de sa patiente en fin de vie. Terrifiant et une superbe prestation de Morfydd Clark
His House (2020)
Un drame humain fort sur la trajectoire d’un couple de réfugiés, sous la forme d’un film d’horreur. Un pari audacieux réussi
Unrelated (2007)
Une crise de la quarantaine sous le soleil toscan filmée avec sensibilité, des choix forts et d’excellents acteurs. Mais attention, il faut être patient !
The Chalk Garden / Mystère sur la falaise (1964)
Un mélodrame parfois desservi par quelques choix maladroits mais largement sauvé par son quatuor féminin fort divinement interprété par de grandes dames du cinéma britannique
A Boy Called Dad (2009)
Un film sur le manque de père qui veut trop en faire et tombe dans le misérabilisme avec un personnage central qui en devient irréaliste
Silent Scream (1990)
Un biopic arty et peu orthodoxe d’un homme condamné à la prison à perpétuité pour meurtre et dévoré par sa folie et la drogue qu’on lui fournit pour le calmer
Zardoz (1974)
Longtemps considéré comme un pur nanar, « Zardoz » est pourtant une fable philosophique pessimiste qui mérite d’être prise au sérieux et reste le film le plus personnel de John Boorman
The Emerald Forest (1985)
Une fable humaniste plus qu’écologiste réalisée par un John Boorman au sommet de sa forme
The Nest (2020)
Un drame sur les nouveaux riches, et leurs failles cachées, un peu trop prétentieux, mais qui bénéficie d’une belle photo et de formidables acteurs
The Triple Echo (1972)
Un drame psychologique intrigant mais pas toujours crédible, malgré un beau trio d’acteurs, où un déserteur doit se faire passer pour la soeur de la femme qu’il aime.
The Night Digger (1971)
Une ambiance malsaine parfaitement maitrisée, un casting porté par Patricia Neale et Pamela Brown. Aujourd’hui encore la moralité trouble de cette histoire fait son effet
Secret Friends (1991)
Un film étrange, complexe, déconcertant, écrit et réalisé Dennis Potter, l’un des plus grands scénaristes de la télévision britannique
Hussy (1980)
Un bon drame, avec des touches de romance et de film criminel, sur le milieu de la prostitution et les boites de nuit avec un joli casting dont une Helen Mirren impériale.
Endless Night (1972)
Un thriller porté par une belle ambiance et le trio Hayley Mills, Hywel Bennett et Britt Ekland. Le dernier film écrit et réalisé par Sidney Gilliat
Black Death (2010)
Voici un drame historique et horrifique bien fichu où la cruauté des hommes est bien pire que celle de la peste noire !
Another Time, Another Place (1958)
Une romance un peu mélo mais agréable portée par Lara Turner avec un tout jeune Sean Connery dans le rôle de son amant





















