Films dramatiques britanniques
Brown on Resolution / Forever England (1935)
Un film de guerre patriotique un peu déséquilibré mais avec de belles scènes de bataille navale. L’un des premiers grands rôles de John Mills
Girl with Green Eyes (1964)
Une romance mélancolique et douce-amère avec une réalisation réaliste-poétique très maitrisée de Desmond Davis et un excellent trio d’acteurs
The Pumpkin Eater / Le mangeur de citrouilles (1964)
Troisième film et troisième chef d’oeuvre de Jack Clayton, voici un film qui dissèque avec une précision remarquable la place de la femme en tant que mère, épouse mais également individu à part entière !
Burning an Illusion (1981)
Un très beau portrait de femme noire britannique et le récit de son éveil politique dans l’Angleterre Thatchérienne
Tyrannosaur (2011)
Le premier film de Paddy Considine aborde la violence quotidienne, qu’elle soit dirigée contre soi-même ou les autres. Un sujet sensible traité avec retenue et justesse, avec deux grands acteurs
I Was a Spy / J’étais une espionne (1933)
Une production ambitieuse et réussie de la Gaumont-British avec Madeleine Carroll et Conrad Veidt
I.D. (1995)
Un classique du film de hooligans où quatre flics infiltrent un gang particulièrement violent. L’un d’entre eux se prête un peu trop au jeu !
Green Street / Hooligans (2005)
Un film de hooligans qui ne se veut pas caricatural, mais qui en devient un peu trop propret à l’image de ses personnages principaux.
Psyche 59 (1964)
Samantha Eggar formidable, à la fois victime et bourreau, au coeur d’un drame psychologique sur les rapports dominants-dominés
The Devils / Les diables (1971)
Un film historique signé Ken Russel. Chef d’oeuvre absolu et le plus grand rôle d’Oliver Reed. Un scandale à sa sortie qu’on ne peut toujours pas voir (en 2020) dans sa version intégrale !
Let Him Have It / L’âge de vivre (1991)
Un plaidoyer efficace contre la peine de mort, tiré d’un scandale judiciaire de l’après-guerre. L’un des tous meilleurs rôles de Christopher Eccleston
VS. (2018)
Le portrait d’un jeune délinquant qui se trouve une identité et une raison d’être à travers les rap battles
The Browning Version / Les leçons de la vie (1994)
Une modernisation assez réussie de la célèbre pièce de Rattigan mais qui vaut surtout pour la composition d’Albert Finney
Only You (2018)
Un drame sensible sur l’infertilité féminine et ses conséquences sur un couple. Jolie alchimie à l’écran entre Laia Costa et Josh O’Connor
Rocks (2019)
Un drame social plein de bonnes intentions, magnifiquement porté par ses acteurs amateurs, mais desservi par une réalisation maladroite
Bait (2019)
Un film formellement audacieux qui ne tombe pas dans l’exercice de style et démontre une véritable maitrise et puissance.
Secret Lives (1937)
Le destin tragique d’une jeune allemande manipulée par les services secrets français durant la première guerre mondiale ! Une réalisation baroque et une sacrée présence à l’écran de Brigitte Horney
The Bostonians / Les Bostoniennes (1984)
Adaptant un roman d’Henry James, le trio Ivory/Merchant/Prawer Jhabvala nous livre un mélo longuet avec des personnages horripilants
The Navigators (2001)
Un drame social typique de Ken Loach qui scrute à hauteur de travailleur l’impact de la privatisation des chemins de fer britanniques sur les cheminots et où l’humour et la camaraderie cèdent bientôt la place au drame
Institute Benjamenta, or This Dream That One Calls Human Life (1995)
Un conte de fées sombre et difficile d’accès mais hypnotisant dû au génie atypique des frères Quay