Films dramatiques britanniques
Departure / Le départ (2015)
Un film un peu précieux et maladroit mais non dénué de charme sur un jeune homme de 16 ans qui découvre l’amour et son homosexualité
Raining Stones (1993)
Un drame poignant sur la lutte d’un chômeur qui, fier contre vents et marrées, veut payer une robe neuve pour la communion de sa fille.
Fish Tank (2009)
Un drame social fort avec un personnage lumineux et attachant porté par l’impressionnante Katie Jarvis, et superbement filmé par Andrea Arnold
The Singer Not the Song / Le cavalier noir (1961)
Un western européen iconoclaste et audacieux où Dirk Bogarde est transformé en icône gay et tombe amoureux d’un prêtre catholique !
Four in the Morning (1965)
Un joli film, au ton morose, sur la complexité des relations homme-femme au milieu des années 60. Superbement filmé et joué. A découvrir !
Time Without Pity / Temps sans pitié (1957)
Un petit film noir poignant signé Joseph Losey sur la quête désespérée d’un père alcoolique (interprété magistralement par Michael Redgrave) pour sauver la vie de son fils condamné à mort.
Red Road (2006)
Le premier long d’Andrea Arnold est un film poignant mais difficile d’accès sur le deuil et le pardon.
Voice Over (1981)
Un film sur la folie d’un homme qui se réfugie dans les paroles pour noyer son angoisse. Bancal et hermétique, mais avec des fulgurances.
The Proposition (2005)
Un western anglo-australien qui a du chien, mais aux personnages pas assez bien finis pour que le film soit une vraie réussite The Proposition (2005) Réalisé par John Hillcoat Ecrit par Nick Cave Avec Ray Winstone, Guy Pearce, Emily Watson, Danny Huston, John Hurt,...
Went the Day Well? (1942)
Un film de propagande atypique où un village anglais suranné sombre dans la violence suite à l’invasion surprise d’un commando allemand. Sombre, ironique et violent.
The Reflecting Skin / L’enfant miroir (1990)
Un film sur le fil entre réalité et fantastique à la photographie très travaillée qui met en images des évènements cruels vus par un enfant de 8 ans.
Tomorrow Never Comes / Demain, la vie (1978)
L’avant-dernière réalisation de Peter Collinson pour le grand écran est un film policier tellement invraisemblable qu’il penche vers l’absurde. Etait-ce vraiment voulu ?
The Edge of the World (1937)
Premier chef d’oeuvre signé Michael Powell, un véritable tour de force tourné sur une île inhospitalière au large de l’Ecosse
Truly, Madly, Deeply (1990)
Une romance fantastique sublimée par des personnages mémorables et des acteurs hors du commun
Images (1972)
Un film d’horreur psychologique signé Robert Altman. Parfois trop hermétique mais une ambiance très particulière à découvrir.
Prostitute (1980)
Un portrait, sans glamour ni pathos, qui se veut réaliste de la prostitution à la fin des années 70. Mi-documentaire, mi-drame social, « Prostitute » offre un plaidoyer assez efficace pour la légalisation.
The Silent Playground (1963)
Des enfants sont empoisonnés par un mystérieux individu. La police mène une chasse à l’homme pour le retrouver. Un thriller intelligent injustement oublié.
The Wind of Change (1961)
Une série B intéressante sur la frustration de la jeunesse d’après guerre, la violence qui en découle et qui se retourne contre les minorités raciales.
Last Orders (2001)
Un drame sensible sur la mort et la vie qui passe, porté par des acteurs légendaires. Un film d’ensemble étonnamment réussi malgré un sujet qui aurait pu le faire sombrer dans le mélo le plus outrancier.
Hector (2015)
Un film social pas très réaliste mais porté par un Peter Mullan très à l’aise dans le rôle d’un SDF qui tente de se relever