Films dramatiques britanniques
Esther Waters (1948)
Une romance qui aurait pu virer au mélodrame le plus facile mais qui finalement vaut bien mieux que sa triste réputation !
The Spanish Gardener / Le jardinier espagnol (1956)
Un diplomate (interprété par le génial Michael Hordern), blessé sur plan personnel et professionnel, est jaloux de l’amitié de son fils avec un jardinier.
So Long at the Fair / Si Paris l’avait su (1950)
Un bon thriller avec Jean Simmons et Dirk Bogarde qui plonge le spectateur dans un Paris hostile, en pleines festivités de l’exposition universelle.
Midnight Express (1978)
Film carcéral mythique, « Midnight Express », s’il n’est pas des plus subtiles, reste toujours aussi brutal et oppressant. Culte.
A Tale of Two Cities / Sous la terreur (1958)
Une adaptation plutôt réussie d’un roman de Dickens où Dirk Bogarde excelle en anti-héros qui trouve la rédemption en se sacrifiant par amour
The Reckoning (1970)
Un excellent thriller sombre et puissant sur un catholique irlandais, qui a fait carrière dans les affaires à Londres en étant arriviste et violent. Il revient dans sa ville natale, Liverpool, pour venger l’assassinat de son père
Campbell’s kingdom / La vallée de l’or noir (1957)
Un film d’aventures à l’intrigue et aux personnages bien trop simplistes et caricaturaux. Un gâchis avec un casting en or dont Dirk Bogarde et Stanley Baker.
Hunted / Rapt (1952)
Un film noir de bonne facture autour d’un duo de fugitifs improbable : un marin qui a tué par amour et un orphelin qui pense avoir incendié la maison de ses parents adoptifs !
Boys in Brown (1949)
Un film sur la délinquance juvénile qui prend la défense… des maisons de correction. Au moins, c’est original !
Once a Jolly Swagman (1949)
Un film pour le moins surprenant, qui mixe les genres, où Dirk Bogarde interprète un jeune homme qui veut échapper à sa condition d’ouvrier en participant à des courses de moto.
The Mind Benders (1963)
Une expérience sur la privation des sens tourne mal. Un drame basé sur des expériences scientifiques réelles. Déséquilibré mais intrigant.
Gaslight (1940)
Un excellent thriller sur un mari manipulateur qui essaie de pousser sa femme vers la folie. Avec un Anton Walbrook saisissant !
Love on the Dole (1941)
L’un des premiers grands drames sociaux britanniques. Sorti en temps de guerre, le film se veut une ode aux masses ouvrières fortement malmenées pendant la grande dépression.
Underground (1928)
Premier film à être tourné dans le métro londonien, « Underground » passe de la romance au thriller sous la réalisation inspirée d’Anthony Asquith
Sons and Lovers / Amants & fils (1960)
Un beau mélodrame en pays minier où un jeune homme peine à s’émanciper du poids de l’amour maternel et a aimer d’autres femmes.
The Crying Game (1992)
Un drame humain fort sur une amitié et un amour impossibles avec en toile de fond le conflit en Irlande du Nord.
Handgun (1984)
Tony Garnett signe une approche originale d’un genre rabattu, le revenge movie. Un film fort qui s’interroge également sur la fascination américaine pour les armes à feu
Scum (1979)
Un plaidoyer juste et fort, parfois à la limite du supportable, contre le traitement des jeunes délinquants. Un chef d’oeuvre du cinéma engagé signé Alan Clarke
Expresso Bongo (1959)
Une comédie musicale enlevée et une amusante satire du show biz à la sauce britannique. Une excellente surprise avec Cliff Richard dans l’un de ses premiers rôles et un Laurence Harvey brillant !
Lord Jim (1965)
Un somptueux film d’aventures autour d’un anti-héros en quête d’une seconde chance. Ce film maudit, détesté à sa sortie, en mérite bien une !





















