Thrillers britanniques
Darklands (1996)
Quand le folk horror s’immisce dans une aciérie galloise ! Un scénario confus rattrapé de justesse par une ambiance glauque à souhait.
Dragonfly (2025)
Entre réalisme social et thriller, une très belle réussite portée par une exécution qui frôle la perfection
Marionette (2020)
Un thriller psychologique ambitieux qui aurait gagné à garder un peu plus de mystère. Le casting réussi et les paysages écossais nous aident à passer un bon moment
Escape Route / La route de la mort (1952)
Un petit thriller typique de la guerre froide mais qui nous donne l’occasion de voir le New Yorkais George Raft marcher parmi les ruines encore fumantes du Londres d’après-guerre
Cleaner (2025)
Un thriller d’action à l’écriture trop paresseuse (euphémisme). Dommage car Martin Campbell et Daisy Ridley se démènent dans ce clone de « Die Hard »
The Last Journey (1935)
Un film à petit budget bien au-dessus des films similaires produits à la pelle durant les années 30 avec des scènes impressionnantes à bord d’un train qui file à toute allure vers la mort
Tenet (2020)
Christopher Nolan signe un thriller qui joue avec la temporalité. Grosse production ambitieuse et alambiquée, « Tenet » peut laisser perplexe !
The Comfort of Strangers / Étrange Séduction (1990)
Un thriller érotique ? Pas vraiment mais un portrait déstabilisant d’une obsession sexuelle mortifère parfaitement incarnée à l’écran par Christopher Walken dans une Venise à double face
Havoc / Ravage (2025)
Du 100% bourrin qui oublie que l’action non stop ne suffit pas à faire un bon film. Et pourtant, « Havoc » nous vient non pas d’Hollywood mais du pays de Galles !
Bring Them Down / Le clan des bêtes (2024)
Un jeu de massacre bestial sur fond de rivalité entre deux clans de bergers dans la campagne irlandaise. Quand la violence, enfermée dans les silences de plusieurs générations, explose, le sang coule à flot
Tomorrow Never Dies / Demain ne meut jamais (1997)
Heureusement qu’il y a Michelle Yeoh, car sinon cet opus de 007 propose l’un des pires scénarios de la franchise, à la la limite du parodique mais sans humour et moyennement divertissant
GoldenEye (1995)
Une fois le mur de Berlin tombé, que va-t-il advenir de 007 ? Il ne vas pas chômer ! Martin Campbell signe un James Bond réussi avec un Pierce Brosnan qui endosse un costume qui lui va comme un gant
Licence to Kill / Permis de tuer (1989)
Deuxième et dernier Bond de Timothy Dalton, « Licence to Kill » enfonce le clou du 007 sombre et « réaliste » avec plus de violence (mais aussi quelques concessions)
The Living Daylights / Tuer n’est pas jouer (1987)
Timothy Dalton remplace Roger Moore dans le rôle du célèbre agent secret britannique. Changement dans la continuité, retour aux sources ?
A View to a Kill / Dangereusement vôtre (1985)
Le dernier James Bond de Roger Moore, souvent malaimé, mais qui ne démérite pas avec ses cascades improbables et des méchants d’anthologie.
Crossplot (1969)
Entre The Saint et James Bond, Roger Moore traine son tuxedo dans un pseudo thriller politique mais une vraie comédie d’aventures avec son lot de charme et de bagarres
Melanie’s Grave (2024)
Un petit thriller à micro budget qui souffre d’un scénario trop basique mais surtout d’une interprétation peu convaincante
A Cottage on Dartmoor (1929)
Une histoire d’obsession amoureuse et de jalousie mortifère classique mais merveilleusement mise en image par un Anthony Asquith au pinacle de son inventivité visuelle
Penny Gold (1973)
La ville royale de Winsdor, des collectionneurs de timbre et un crime ! Une entrée en matière appétissante qui aurait pu donner un très bon giallo à l’anglaise.
Conclave (2024)
Un miracle s’est produit ! Un thriller réussi sur l’élection d’un nouveau pape ! Alléluia ! Avec une belle et sainte brochette d’excellents acteurs





















