Films dramatiques britanniques
Tideland (2005)
Sûrement le film le plus sombre de Terry Gilliam, avec un humour très noir, mais également un film fort sur la capacité de résilience d’un enfant. Âmes sensibles s’abstenir !
Fanny Lye Deliver’d (2019)
Un western dans la campagne anglaise du XVIIe, parfois un peu trop bavard mais qui démonte méthodiquement le puritanisme et le patriarcat
Radio On (1979)
Un road movie contemplatif et sombre où un DJ londonien part à Bristol pour tenter de comprendre la mort de son frère, faisant plusieurs rencontres sur le chemin
The War Zone (1999)
Un film dur et sans concession sur l’inceste. Le premier (et unique à ce jour) film de Tim Roth a marqué les esprits
The Way to the Stars / Le chemin des étoiles (1945)
Un mélodrame émouvant signé Terence Rattigan et Anthony Asquith sur la vie au sol dans une base aérienne pendant la Seconde Guerre mondiale.
The Bridge on the River Kwai / Le Pont de la rivière Kwai (1957)
Un film épique sur la folie des hommes et l’absurdité de la guerre signé David Lean. Une méga production qui n’a pas pris une ride avec un Alec Guinness au sommet de son art
Croupier (1998)
Un film noir sur le monde du casino qui a marqué le grand retour de Mike Hodges derrière la caméra et a mis Clive Owen sous le feu des projecteurs
Bloody Sunday (2002)
Un film coup de poing, tourné comme un documentaire, sur l’un des épisodes les plus sanglants de la guerre civile en Irlande du Nord. Aussi magistral que douloureux à regarder
Borstal Boy (2000)
Une double romance mièvre qui sombre dans le mélodrame et manque cruellement de réalisme
Brown on Resolution / Forever England (1935)
Un film de guerre patriotique un peu déséquilibré mais avec de belles scènes de bataille navale. L’un des premiers grands rôles de John Mills
Girl with Green Eyes (1964)
Une romance mélancolique et douce-amère avec une réalisation réaliste-poétique très maitrisée de Desmond Davis et un excellent trio d’acteurs
The Pumpkin Eater / Le mangeur de citrouilles (1964)
Troisième film et troisième chef d’oeuvre de Jack Clayton, voici un film qui dissèque avec une précision remarquable la place de la femme en tant que mère, épouse mais également individu à part entière !
Burning an Illusion (1981)
Un très beau portrait de femme noire britannique et le récit de son éveil politique dans l’Angleterre Thatchérienne
Tyrannosaur (2011)
Le premier film de Paddy Considine aborde la violence quotidienne, qu’elle soit dirigée contre soi-même ou les autres. Un sujet sensible traité avec retenue et justesse, avec deux grands acteurs
I Was a Spy / J’étais une espionne (1933)
Une production ambitieuse et réussie de la Gaumont-British avec Madeleine Carroll et Conrad Veidt
I.D. (1995)
Un classique du film de hooligans où quatre flics infiltrent un gang particulièrement violent. L’un d’entre eux se prête un peu trop au jeu !
Green Street / Hooligans (2005)
Un film de hooligans qui ne se veut pas caricatural, mais qui en devient un peu trop propret à l’image de ses personnages principaux.
Psyche 59 (1964)
Samantha Eggar formidable, à la fois victime et bourreau, au coeur d’un drame psychologique sur les rapports dominants-dominés
The Devils / Les diables (1971)
Un film historique signé Ken Russel. Chef d’oeuvre absolu et le plus grand rôle d’Oliver Reed. Un scandale à sa sortie qu’on ne peut toujours pas voir (en 2020) dans sa version intégrale !
Let Him Have It / L’âge de vivre (1991)
Un plaidoyer efficace contre la peine de mort, tiré d’un scandale judiciaire de l’après-guerre. L’un des tous meilleurs rôles de Christopher Eccleston





















