Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Sahara (1983)
Un film d’aventures et une romance à la gloire de la beauté de Brooke Shields qui tente de mélanger différentes recettes à succès… en vain.
Silent Night (2020)
Un film criminel sombre, pas follement original, mais suffisamment bien conçu pour maintenir l’intérêt.
Censor (2021)
En pleine période du phénomène des « video nasties », une censeuse perd les pédales. Un film d’horreur psychologique un peu trop classique sur une idée prometteuse.
Preaching to the Perverted (1997)
Une comédie romantique atypique et audacieuse sur l’univers BDSM qui pourfend les gardiens auto-proclamés de la moralité
I Start Counting (1969)
Un film complexe sur le passage à l’âge adulte plus qu’un thriller d’exploitation, « I Start Counting » est étonnant et inattendu
Ex Machina (2014)
Une première réalisation réussie pour le scénariste Alex Garland. Un très bon huis clos SF sur le thème de l’intelligence artificielle
Dream Horse (2020)
Un feel good movie qui emprunte largement aux recettes bien éprouvées des comédies Ealing. Aussi charmant que sans surprise
Rembrandt (1936)
La seconde et dernière collaboration entre Alexander Korda et Charles Laughton est une jolie réussite cinématographique et une belle réflexion sur le statut d’artiste
Corridors of Blood (1958)
Une description brutale de la misère des quartiers populaires londoniens pendant la période victorienne marquée aussi par la rencontre de deux géants : Boris Karloff et Christopher Lee
Cal (1984)
Une romance trouble sur fond des événements en Irlande du Nord. Un film remarquable et touchant à redécouvrir
A Month in the Country (1987)
Un beau film qui traite de la première guerre mondiale avec une subtilité rarement vue à l’écran et interprété avec sensibilité par des jeunes acteurs prometteurs
The Asphyx / L’esprit de la mort (1972)
Trop d’improbabilités psychologiques gâchent une belle ambiance gothique victorienne où la passion de l’époque pour les images et la mort s’entrecroisent
The Pirates of Blood River (1962)
Un film de pirates tourné à 100% en Angleterre et sur le sol des vaches, mais qui réussit sans problème à donner le change. Un excellent film d’aventures de la Hammer
The Hour of the Pig (1994)
Un film historique étonnant où suinte un humour noir ravageur et porté par un casting en or. Un film injustement oublié à réhabiliter d’urgence
Ammonite (2020)
Un drame contemplatif et rugueux qui met en scène une aventure lesbienne sur la côte du Devon au milieu du XIXe siècle
The Father (2020)
Un premier film réussi du dramaturge français Florian Zeller. Un sujet éprouvant mais traité avec sensibilité et magnifié par les prestations d’Anthony Hopkins et Olivia Colman
The Legacy (1978)
Une tentative ratée de marcher sur les pas de « The Omen » mais un whodunit à la Agatha Christie plaisant avec une touche d’horreur
Cold Light of Day (1989)
Une jeune réalisatrice de 21 ans signe un premier film sur le serial killer Des Nilsen quelques années après les faits. Une production sans budget mais audacieuse
Whore (1991)
Un an après la sortie de « Pretty Woman », Ken Russell déglamorise la prostitution avec le portrait glacial d’une prostituée ordinaire, superbement interprétée par Theresa Russell
Mr Topaze (1961)
La seule réalisation de Peter Sellers est un conte cruel tiré de la pièce de Marcel Pagnol où un professeur naïf finit par devenir le plus froid des escrocs



















