Films romantiques britanniques
Circle of Danger / L’enquête est close (1951)
Un drame mâtiné de romance plutôt qu’un thriller, « Circle of Danger » n’échappe pas à l’ennui malgré un dénouement intéressant et de bons acteurs
Forget Me Not (1936)
« Forget me not » est une romance touchante et efficace qui plaira particulièrement aux amateurs d’opéra.
Wedding Rehearsal / Maryrose et Rosemary (1932)
Une satire de la haute société britannique, et de la fascination des britanniques pour les mariages aristocratiques, finement réalisée par Alexander Korda
Hell is Sold Out (1951)
Une petite comédie romantique sympathique qui vaut surtout pour ses trois acteurs principaux (Mai Zetterling, Herbert Lom et Richard Attenborough)
The House of Mirth / Chez les heureux du monde (2000)
Sous des faux aires de mélo, une satire au scalpel des codes sociaux hypocrites de la haute société. Une réalisation inspirée de Terence Davies et une interprétation bluffante de Gillian Anderson
Mary Shelley (2017)
Une histoire prometteuse salopée par une armée de producteurs et une réalisatrice aux fraises. A oublier avant même de l’avoir vu !
The V.I.P.s . / Hôtel international (1963)
Un générique impressionnant qui donne un film d’ensemble sympathique mais anecdotique
Sylvia (2003)
Un biopic consacré à un couple mythique de poètes. La prestation des interprètes ne sauve pas un scénario discutable et une réalisation sans âme.
The Demi-Paradise / L’étranger (1943)
Une comédie romantique de propagande qui lance un plaidoyer pour le rapprochement entre l’Angleterre et la Russie. Très drôle et bien vu !
Some Voices (2000)
Un homme schizophère (Daniel Craig) sort de l’hôpital psychiatrique. Est-ce que l’amour de son frère et d’une jeune femme suffiront pour stabiliser son état ? Un portrait sensible mais un brin trop attendu
Ryan’s Daughter / La fille de Ryan (1970)
Film maudit qui a brisé la carrière de David Lean, « Ryan’s Daughter » est pourtant une relecture somptueuse et originale de Madame Bovary, une leçon d’humanité. Attention, chef d’oeuvre injustement oublié !
A Town like Alice / Ma vie commence en Malaisie (1956)
A la fois récit cruel du périple d’un groupe de femmes et d’enfants, victimes collatérales de la seconde guerre mondiale, et romance improbable entre deux prisonniers que tout semble séparer.
80.000 suspects (1963)
Une observation quasi clinique sur l’amour qui s’étiole avec en toile de fond une crise sanitaire. Une étrange non romance !
Sid & Nancy / Sid and Nancy (1986)
Une romance sous héroïne qui raconte l’auto destruction d’un couple devenu mythique. Une jolie prestation de Gary Oldman mais quelques partis pris dérangeants.
Esther Waters (1948)
Une romance qui aurait pu virer au mélodrame le plus facile mais qui finalement vaut bien mieux que sa triste réputation !
Penny Princess / Fromage à gogo (1952)
Un drôle de mélange entre la comédie romantique à l’américaine et la comédie type Ealing aussi charmant que désuet
A Tale of Two Cities / Sous la terreur (1958)
Une adaptation plutôt réussie d’un roman de Dickens où Dirk Bogarde excelle en anti-héros qui trouve la rédemption en se sacrifiant par amour
Once a Jolly Swagman (1949)
Un film pour le moins surprenant, qui mixe les genres, où Dirk Bogarde interprète un jeune homme qui veut échapper à sa condition d’ouvrier en participant à des courses de moto.
Sebastian (1968)
Une romance qui a pour originalité de se dérouler dans le départment de codage des services secrets britanniques durant les swinging sixties !
The Man Between / L’homme de Berlin (1953)
Le moins connu des films noirs de Carol Reed est un chef d’oeuvre malgré ses imperfections et grâce au couple formé par James Mason et Claire Bloom.





















