Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
A Town like Alice / Ma vie commence en Malaisie (1956)
A la fois récit cruel du périple d’un groupe de femmes et d’enfants, victimes collatérales de la seconde guerre mondiale, et romance improbable entre deux prisonniers que tout semble séparer.
Straight to Hell (1987)
« Straight to Hell » est un western punk et culte, où Cox rend hommage à l’un de ses maitres Sergio Leone tout en s’amusant comme un petit fou.
Death and the Compass (1996)
Dans le futur, un détective enquête sur le meurtre d’un rabbin et croit dénouer une complexe histoire de sacrifices. Fantaisiste et foutraque, du pur Alex Cox, ici inspiré d’une nouvelle de Jorge Luis Borges
Three Businessmen (1998)
Une comédie surréaliste, parabole de la vie contemporaine, réalisée par Alex Cox et brillamment interprétée par Cox et son acteur fétiche Miguel Sandoval
Aces High / Le tigre du ciel (1976)
Un bon film de guerre aérienne mais aussi un drame fort, signé Jack Gold, où un jeune homme doit faire face à la réalité de la vie d’un pilote de combat (et à sa possible mort).
Brothers and Sisters (1980)
Entre drame et thriller, voici un film audacieux sur le plan formel et consistant sur le fond. Brillant !
Otley (1969)
Une comédie d’espionnage réussie avec un Tom Courtenay très en forme. On est loin de la pochade parodique de James Bond et c’est tant mieux !
Town on Trial / Traqué par Scotland Yard (1957)
Un bon film criminel qui s’en prend à l’hypocrisie de la bourgeoisie de banlieue chic. Réalisé de main de maître par John Guillermin
Man of Violence (1971)
Un détournement du film d’espionnage signé Pete Walker. Fauché, déséquilibré mais une curiosité divertissante et un brin provocante à redécouvrir pour les amateurs de thrillers seventies.
Jamaica Inn / La taverne de la Jamaïque (1939)
Un récit cruel avec des touches d’humour noir, porté par une superbe photographie et des personnages mémorables.
Psychomania (1973)
Film d’horreur psychédélique sur deux roues, « Psychomania » mixe deux genres incontournables des années 70 : le film de motards et celui de morts vivants.
Bad Day for the Cut (2017)
Un chouette revenge movie qui ne se fourvoie pas dans les poncifs du genre et bénéficie d’un protagoniste atypique, un fermier nord irlandais taiseux et solitaire
Sammy Going South (1963)
Un film d’aventures qui suit le voyage initiatique éprouvant et émouvant d’un jeune garçon propulsé dans la sauvagerie du monde suite au décès de ses parents
The ‘Maggie’ (1954)
Une comédie maritime très sympathique où s’affrontent un vieux loup de mer écossais pas très honnête et un riche Américain pas très patient !
Mandy (1952)
Un très beau drame émouvant sur une petite fille sourde et muette qui, après des années d’enfermement dans le cocon familial, va apprendre à s’ouvrir aux autres malgré les déchirements, les doutes et les difficultés de ceux qui l’entourent.
Herostratus (1967)
Un drame expérimental, longtemps oublié, qui dénonce avec efficacité et une véritable science du montage l’égocentrisme de la société moderne.
How to Get Ahead in Advertising (1989)
Une satire réussie du milieu de la publicité et de la consommation de masse qui se démarque grâce à son virage osé vers le fantastique et une prestation hallucinée de Richard E. Grant.
A day in the death of Joe Egg (1972)
Un couple avec un enfant plongé dans un état végétatif se déchire. Un sujet délicat traité sans fard mais avec l’humour du désespoir.
Symptoms (1974)
Un thriller horrifique inquiétant et joliment filmé par le réalisateur espagnol José Ramón Larraz, porté par la présence fantomatique d’Angela Pleasence.
80.000 suspects (1963)
Une observation quasi clinique sur l’amour qui s’étiole avec en toile de fond une crise sanitaire. Une étrange non romance !