Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Her Private Hell (1968)
Un film d’exploitation sur le milieu des photos de charme dans le Londres des années 60. Des faiblesses mais une réalisation déjà assurée de Norman J. Warren
Betrayal / Trahisons conjugales (1983)
Une relation adultère disséquée avec un brin de cruauté par Harold Pinter. Un trio d’acteurs épatant mais une réalisation paresseuse
Oh, Mr. Porter! (1937)
L’un des plus grands succès du comique Will Hay se termine sur une échappée à 100 à l’heure à bord d’un train. Mythique !
Boys Will Be Boys (1935)
Quand un professeur peu doué se retrouve par erreur à la tête d’une école publique élitiste, ça donne un sacré bordel ! Le premier grand succès de Will Hay, l’une des stars de la comédie britannique de 1934 à 1943.
Straw Dogs / Les chiens de paille (1971)
Un film violent, pessimiste et sans concession sur les instincts primaires nichés dans le coeur des hommes. Sam Peckinpah au sommet de sa forme
The Stolen / Lady Gun Fighter (2017)
Un western conjugué au féminin mais qui manque de personnalité et de puissance. Restent Alice Eve et les magnifiques paysages néo-zélandais
The Heart of the Matter / Le fond du problème (1953)
Une romance noire adaptée de Graham Greene qui dresse un portrait peu reluisant de la vie dans les colonies et d’un homme rongé par la culpabilité
Hoffman (1970)
Une comédie romantique trempée dans l’acide, où Peter Sellers livre une prestation d’une sobriété et d’une noirceur inédites
Lust for a Vampire / La soif du vampire (1971)
Film mal aimé de la Hammer, « Lust for a Vampire » souffre d’un virage vers un érotisme et un kitsch pas assumés par ses propres géniteurs
Comfort and Joy (1984)
Une excellente comédie douce amère sur la crise de la quarantaine avec un Bill Paterson impeccable.
My Son the Fanatic (1997)
Un film poignant avec son personnage central, un chauffeur de taxi pakistanais, débordant d’humanité et excellemment interprété par Om Puri
French Dressing (1964)
Le premier film de Ken Russell est une comédie inégale mais distrayante et non dénuée de poésie qui se moque des stations balnéaires anglaises et… de la nouvelle vague française !
The Great St. Trinian’s Train Robbery (1966)
Des clins d’oeil aux films d’action et d’espionnage, et une course de locomotives, permettent au 4e opus de la série St Trinian’s de se distinguer de ses illustres prédécesseurs
Trouble in Store / Le roi de la pagaille (1953)
La première comédie portée par Norman Wisdom et un triomphe au box office. Attention, un grand magasin londonien de luxe va se faire wisdomiser !
The Pure Hell of St. Trinian’s (1960)
Ce troisième opus de la série des « St. Trinian’s » a du mal à renouveler la formule malgré des aventures exotiques
Blue Murder at St. Trinian’s / Fric frac à gogo (1957)
Les sauvageonnes de St Trinain ont bien grandi, mais sont toujours aussi terribles ! Une suite très réussie…
The Belles of St. Trinian’s / Les belles de Saint-Trinian (1954)
Une comédie irrévérencieuse où les pensionnaires immorales d’une école de jeunes filles sèment la terreur. Un classique de la comédie anglaise
Beat Girl / L’aguicheuse(1960)
Un portrait intéressant et crédible de la jeunesse londonienne rebelle de l’après-guerre et du fossé générationnel
Sex Lives of The Potato Men (2004)
Une comédie à la vulgarité assumée sur le vide sexuel d’un groupe de livreurs de pomme de terre ! Pour public averti !
Circle of Danger / L’enquête est close (1951)
Un drame mâtiné de romance plutôt qu’un thriller, « Circle of Danger » n’échappe pas à l’ennui malgré un dénouement intéressant et de bons acteurs