Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Cry of the Banshee (1970)
Pas de banshee, ni de Poe, mais un très bon film d’horreur gothique, cruel à souhait, avec Vincent Price
I Don’t Want to Be Born (1975)
Quand l’esprit d’un nain vengeur et psychopathe possède un nourrisson, cela donne un gros nanar même avec un générique prometteur !
Institute Benjamenta, or This Dream That One Calls Human Life (1995)
Un conte de fées sombre et difficile d’accès mais hypnotisant dû au génie atypique des frères Quay
The Vanishing (2018)
Trois hommes dans un phare sur un bout de rocher au large de la côte écossaise. Combien en sortiront vivants ? Et si les hommes étaient encore plus sauvages que la nature ?
The Corpse (1971)
Une variation sur le thème des « Diaboliques » de Clouzot parfois intrigante et malsaine mais sans génie
Starred Up / Les poings contre les murs (2013)
Un film de prison, âpre mais humain, porté par un duo d’acteurs au top (Jack O’Connell et Ben Mendelsohn), un scénario réaliste et une réalisation tirée au cordeau
The Entertainer / Le cabotin (1960)
Brillant portrait d’un artiste du music hall, cabotin et escroc, qui tente de survivre à la déchéance de sa profession. Une composition mémorable de Laurence Olivier dans un film de la nouvelle vague anglaise
Virgin Witch (1972)
Mélange d’érotisme seventies et d’horreur gothique, « Virgin Witch » séduit par son côté décomplexé et ses deux superbes actrices, Ann et Vicky Michelle
The Lonely Passion of Judith Hearne (1987)
Portrait terrible d’une femme rongée par la solitude, l’un des plus beaux rôles de Maggie Smith et dernier film réalisé par le grand Jack Clayton
North Sea Hijack / Les loups de Haute Mer (1980)
Un divertissement sympathique malgré le manque d’action grâce aux comédiens et à une touche d’humour bienvenue
The Bitch (1979)
Joan Collins dans le rôle d’une reine de la nuit nymphomane et manipulatrice sur fond de musique disco !
Maria Marten, or The Murder in the Red Barn (1935)
La première apparition à l’écran de Tod Slaughter qui signe des débuts remarqués dans le rôle d’un vil seigneur prêt à commettre l’indicible par cupidité
Sweeney Todd: The Demon Barber of Fleet Street (1936)
Tod Slaughter, l’un des méchants favoris du Londres des années 30, ici dans la peau du légendaire barbier serial Killer
Berserk (1967)
Un cirque, des crimes violents et Joan Crawford. Un mélange très plaisant concocté par le producteur Herman Cohen
The Lair of the White Worm / Le repaire du ver blanc (1988)
Un film d’horreur adapté de Bram Stoker et réalisé par Ken Russell ? Malheureusement le résultat vire vers le grotesque
Sexy Beast (2000)
Un film culte entre romance, thriller et comédie qui a lancé la carrière du réalisateur Jonathan Glazer. Avec Ray Winstone et Ben Kingsley en très grande forme
I Believe in You (1952)
Un drame social, souvent juste et parfois émouvant, sur le modèle de « The Blue Lamp » avec une toute jeune Joan Collins dans l’un de ses premiers rôles à l’écran
Don’t Open It Till Christmas (1984)
Un slasher des années 80 où des Pères Noël se font massacrer par un mystérieux psychopathe dans les rues de Londres.
A Place of One’s Own (1945)
Entre romance et film de fantôme, une curiosité où l’on voit également un jeune James Masson jouer un vieux retraité !
Eat the Rich (1987)
Une farce sociale punk et anarchiste s’il en est, dont le titre est à prendre au premier degré. Avec en plus un casting rock’n’roll !



















