Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Tom Jones (1963)
Une brillante farce et satire de l’Angleterre du XVIIIe par l’un des maîtres de la nouvelle vague britannique, Tony Richardson. Quatre Oscars et un triomphe public mérités !
Dr. Who and the Daleks (1965)
La plus mythique des séries SF anglaises est portée sur grand écran deux ans après sa création. Malheureusement, le résultat est très primitif
Life of Brian (1979)
Monty Python Life of Brian (La vie de Brian), l’une des meilleures comédies britanniques de tous les temps, a pourtant failli ne jamais voir le jour
Scrooge (1970)
Une adaptation assez réussie du célèbre conte de Dickens sous forme de comédie musicale. Albert Finney y est méconnaissable en vieux grippe-sou !
Tower of Terror / La tour de la terreur (1941)
Thriller d’espionnage en temps de guerre avec une touche horrifique, un petit film original bien fichu et avec un joli casting
West 11 (1963)
Une errance sombre dans le Notting Hill des sixties, une perle noire signée Michael Winner à découvrir sans tarder
A Man of No Importance (1994)
Une belle prestation d’Albert Finney, contrôleur de bus homosexuel et amoureux de théâtre dans un Dublin catholique. Dommage que le scénario soit un peu convenu
The Bostonians / Les Bostoniennes (1984)
Adaptant un roman d’Henry James, le trio Ivory/Merchant/Prawer Jhabvala nous livre un mélo longuet avec des personnages horripilants
German Concentration Camp Factual Survey (1945)
Resté dans les cartons depuis 1945 pour finalement être achevé en 2014, ce film sur la libération des camps se révèle être un document inestimable
Stage Fright / Le grand alibi (1950)
Une très bonne comédie criminelle un peu trop vite oubliée dans la filmographie d’Alfred Hitchcock et qui marquait son grand retour à Londres
Two Graves (2018)
Un thriller à petit budget médiocre qui, crime impardonnable, gâche les talents de Cathy Tyson et Katie Jarvis
Await Further Instructions (2018)
Un film entre drame, horreur et SF un peu trop ambitieux pour son propre bien et qui débouche sur un résultat mitigé
Cloudburst (1951)
Un cryptologue respecté, ancien résistant, va balayer toute morale pour venger la mort de sa femme. Un revenge movie efficace et dur, même s’il aurait bénéficié d’un peu plus de dynamisme et de moins de bavardage
Doppelgänger (1969)
Quand les créateurs de « Thunderbirds » passent au film avec des acteurs en chair et en os, c’est le clash entre l’ambition d’une SF adulte et un résultat souvent ennuyeux
Heartless (2009)
Un conte de fées horrifique cruel et sardonique signé par Philip Ridley. Un tour de force parfois maladroit par excès d’ambition
Penny Paradise (1938)
Une chouette comédie, signée par Carol Reed, avec une sacrée brochette de personnages issue des quartiers populaires de Liverpool
The Navigators (2001)
Un drame social typique de Ken Loach qui scrute à hauteur de travailleur l’impact de la privatisation des chemins de fer britanniques sur les cheminots et où l’humour et la camaraderie cèdent bientôt la place au drame
Murder Without Crime (1950)
Le premier film de J. Lee-Thompson est un film noir qui se regarde sans déplaisir et bénéficie de la présence de Dennis Price
Ghost Story (1974)
Un film de fantômes à l’ambiance particulièrement réussie. Le chef d’oeuvre méconnu de Stephen Weeks
The Party (2017)
Une comédie noire délicieuse signée Sally Potter avec des acteurs tous formidables… mais trop courte !



















