Films britanniques des années 2020
Werewolf Castle / Chevaliers contre loups-garous (2021)
Un film de fantasy où de valeureux chevaliers doivent combattre une armée de « terrifiants » loups-garous. Un résultat à la hauteur de son budget
The Almond and the Seahorse (2022)
Un drame sur un sujet dur (les traumatismes cérébraux), traité avec optimisme et sensibilité (grâce à un excellent casting) mais avec parfois un peu trop de mélo.
See How They Run / Coup de théâtre (2022)
Un « whodunit » très divertissant bien qu’un peu trop classique. Quelques références amusantes au milieu artistique de l’époque feront plaisir aux connaisseurs
The Other Fellow (2022)
Aux quatre coins de la planette, des gens de toutes les couleurs et milieux sociaux ont un point commun qui est un véritable fardeau, ils s’appellent James Bond !
Save the Cinema (2022)
Une comédie dramatique, tirée de faits réels, bien trop formatée, mais qui plaira aux amateurs de « Feel Good Movies »
I Came By (2022)
Un thriller efficace et prenant qui fait écho à une question trop souvent d’actualité. Un homme respectable et puissant est-il protégé de ses crimes ?
True Things (2021)
Une romance dramatique sensible et portée par Ruth Wilson en femme déstabilisée par la rencontre d’un bel inconnu (trop ?) mystérieux
Caveat (2020)
Un chouette film d’horreur indépendant où la forme l’emporte sur le fond, mais qui parvient à faire mouche grâce à son ambiance bien travaillée et un lapin mécanique d’anthologie.
Vampire Virus (2020)
Un film de vampires à la sauce eighties où le vampirisme est une parabole du sida. Mais ça ne suffit pas à rendre ce film fauché du multirécidiviste Charlie Steeds passionnant
The Kindred (2021)
Un thriller bien fichu avec de petites doses horrifiques et fantastiques, porté par la performance de son actrice principale, April Pearson
Bull (2021)
Un revenge movie brutal, efficace et bien mené qui marque le retour sur grand écran de Paul Andrew Williams. Avec les excellents Neil Maskell et David Hayman.
Settlers (2021)
Un western SF à l’image de ses décors naturels, d’une beauté glaciale et mélancolique où les signes de vie sont presque des anomalies
Absolute Denial (2021)
Malgré un scénario qu’on aurait aimé plus fouillé, le travail d’animation de Ryan Braund, seul à l’ouvrage, pour son premier long métrage d’animation, ne peut qu’imposer le respect
The Feast (2021)
Un drame tendu en gallois qui se déroule lors d’un diner et vire au folk horror terrifiant sur le thème du choc entre traditions et modernité. Une belle surprise !
Sideshow (2021)
Une petite comédie indépendante qui s’avère franchement réussie avec une pointe d’absurde et d’humour noir
The Pebble and the Boy (2021)
Une jolie comédie dramatique nostalgique dans le monde des mods où un jeune homme part à Brighton disperser les cendres de son père et apprend en chemin des choses sur son père et sur lui
The Banishing (2020)
Le grand retour de Christopher Smith à l’horreur, un film de maison hantée un peu trop classique mais bien fichu
The Last Duel / Le dernier duel (2021)
Une construction narrative en trois parties, maladroite, alourdit ce film épique qui livre pourtant un beau portrait de femme
Boiling Point / The Chef (2021)
Un cauchemar en cuisine filmé en un long plan séquence. Un sacré exercice de style qui vous montre, sans fard, les dessous de la restauration
Lair (2021)
Une belle réalisation et quelques moments vraiment effrayants sont gâchés par un scénario peu crédible et mal ficelé