Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
The ‘Maggie’ (1954)
Une comédie maritime très sympathique où s’affrontent un vieux loup de mer écossais pas très honnête et un riche Américain pas très patient !
Mandy (1952)
Un très beau drame émouvant sur une petite fille sourde et muette qui, après des années d’enfermement dans le cocon familial, va apprendre à s’ouvrir aux autres malgré les déchirements, les doutes et les difficultés de ceux qui l’entourent.
Herostratus (1967)
Un drame expérimental, longtemps oublié, qui dénonce avec efficacité et une véritable science du montage l’égocentrisme de la société moderne.
How to Get Ahead in Advertising (1989)
Une satire réussie du milieu de la publicité et de la consommation de masse qui se démarque grâce à son virage osé vers le fantastique et une prestation hallucinée de Richard E. Grant.
A day in the death of Joe Egg (1972)
Un couple avec un enfant plongé dans un état végétatif se déchire. Un sujet délicat traité sans fard mais avec l’humour du désespoir.
Symptoms (1974)
Un thriller horrifique inquiétant et joliment filmé par le réalisateur espagnol José Ramón Larraz, porté par la présence fantomatique d’Angela Pleasence.
80.000 suspects (1963)
Une observation quasi clinique sur l’amour qui s’étiole avec en toile de fond une crise sanitaire. Une étrange non romance !
Super Mario Bros. (1993)
Bide magistral et navet certifié, Super Mario Bros vaut-il mieux que sa sinistre réputation ?
Unearthly Stranger (1963)
Un film de SF horrifique parano dans la lignée des Quatermass, sans grands moyens mais avec une atmosphère assez réussie.
Made (1972)
Un beau portrait d’une jeune femme, incarnée par la mythique Carol White, proie d’un entourage qui s’octroie le droit de décider de ses besoins et désirs à sa place. Une réflexion amère sur la solitude et sur les relations hommes-femmes.
Towel of Evil / La Tour du diable (1972)
Une tentative, pas toujours convaincante mais plaisante, de remettre le gothique au goût des années 70 avec de la nudité et des giclées de sang !
Three Billboards Outside Ebbing, Missouri (2017)
Une comédie dramatique au ton très noir qui détourne intelligemment les codes du cinéma américain
The Death of Stalin / La mort de Staline (2017)
Une satire au vitriol de la Russie stalinienne qui sera malheureusement toujours d’actualité tant qu’il y aura des dictateurs sanguinaires
England Is Mine (2017)
Un biopic sur le chanteur des Smiths qui n’en est pas vraiment un. Désespoir et solitude dans le Manchester de la fin des années 70 !
Sid & Nancy / Sid and Nancy (1986)
Une romance sous héroïne qui raconte l’auto destruction d’un couple devenu mythique. Une jolie prestation de Gary Oldman mais quelques partis pris dérangeants.
The Wind That Shakes the Barley / Le vent se lève (2006)
Première palme d’Or méritée pour Ken Loach, « Le vent se lève » est une relecture engagée et sans fard de la guerre d’indépendance irlandaise (1919-1921).
No Blade of Grass / Terre Brûlée (1970)
Un film post apocalyptique et écolo à l’ultra-violence et l’immoralité audacieuses mais alourdi par un script maladroit et une réalisation trop démonstrative
Our Mother’s House (1967)
Un drame poignant, mais sans pathos, sur sept frères et soeurs dont la jeunesse est volée par la mort de leur mère, puis par les actes d’un « père » indigne
Charley-One-Eye / Charley le borgne (1973)
Un western improbable mais très réussi grâce à un ton crépusculaire, sans concession, une réalisation solide et un casting exceptionnel.
A Gentle Gunman / Un si noble tueur (1952)
Un drame sur fond de conflit en Irlande du Nord. Un film noir qui prend fait et cause pour l’humain contre le politique.



















