Films britanniques des années 70
Die Screaming Marianne (1971)
Un thriller déséquilibré mais pas inintéressant réalisé par le fameux Pete Walker avec Susan George et Leo Genn
BlueBlood (1974)
Une critique de la décadence de l’aristocratie et du système de classes version seventies, un drame qui penche involontairement vers la comédie en tentant d’instaurer un climat horrifique
Frankenstein and the Monster from Hell (1974)
Un Frankenstein à l’ancienne qui voit le retour de Terence Fisher et de Peter Cushing. Un beau chant du cygne pour le dernier Hammer gothique, désormais dépassé
Madhouse (1974)
Longtemps délaissé par le public et la critique, « Madhouse » mérite bien mieux que les a priori et jugements hâtifs dont il fut victime, résultat d’une production chaotique
All Coppers Are… (1972)
Entre drame social, romance cruelle et film criminel, « All Coppers Are… » semble également hésiter entre une approche old school et moderne. Un résultat inégal mais intéressant
Whoever Slew Auntie Roo? / Mais qui a tué tante Roo ? (1972)
Un thriller horrifique qui s’inspire du conte des frères Grimm « Hansel et Gretel » avec Shelley Winters en mère dévastée aux obsessions pas très saines
The Fiend (1972)
Un thriller horrifique très seventies avec ses meurtres de jeunes femmes dénudées mais aussi une dénonciation des sectes chrétiennes et un casting hors-pair
Malachi’s Cove / La crique de Malachi (1973)
Un joli drame porté par le duo touchant entre Donald Pleasence et Veronica Quilliga, seuls face à l’adversité de la nature et des hommes
The Abominable Dr. Phibes / L’Abominable Docteur Phibes (1971)
Une comédie horrifique baroque avec Vincent Price dans l’un de ses rôles européens les plus célèbres de l’ingénieux et macabre Dr. Phibes
The Romantic Englishwoman / Une anglaise romantique (1975)
Une romance dramatique de Joseph Losey qui dresse un très beau portrait de femme, magnifiquement interprété par Glenda Jackson
The House That Dripped Blood / La maison qui tue (1971)
Le grand retour d’Amicus à l’anthologie horrifique est marqué par un humour cynique et réjouissant ainsi que la présence d’un très beau casting
Shatter / Un dénommé Mister Shatter (1974)
Deuxième et dernier film de la Hammer produit avec Shaw Brothers, « Shatter » est un film de mercenaire un peu trop classique et sans grande surprise mais qui offre une belle plongée dans le Hong Kong des seventies.
Trog / L’abominable homme des cavernes (1970)
Le dernier film de Joan Crawford est un film de monstre qui n’échappe pas au ridicule malgré le professionnalisme sans faille de l’actrice
Dominique (1979)
Un thriller horrifique avec du beau monde à l’écran mais qui est desservi par un scénario et une exécution peu convaincants
Burke & Hare (1972)
Une version seventies très sage, qui tire limite vers la comédie, des aventures des plus célèbres trafiquants de cadavres
Killer’s Moon (1978)
Un slasher à l’anglaise fauché et complètement raté. La seule curiosité du film est une vraie héroïne, une chienne à trois pattes qui se prénomme Hannah
Night Hair Child (1972)
Un thriller seventies sur un enfant pas si innocent et sa confrontation avec sa jeune et séduisante belle mère. Un duel malsain assez terrifiant !
The Asphyx / L’esprit de la mort (1972)
Trop d’improbabilités psychologiques gâchent une belle ambiance gothique victorienne où la passion de l’époque pour les images et la mort s’entrecroisent
The Legacy (1978)
Une tentative ratée de marcher sur les pas de « The Omen » mais un whodunit à la Agatha Christie plaisant avec une touche d’horreur
When Eight Bells Toll / Commando pour un homme seul (1971)
Un film d’action qui vous permet de découvrir Anthony Hopkins en sous-James Bond vaut son pesant de cacahuètes. Et vous aurez droit en bonus à de très belles images de la côte écossaise