Films britanniques des années 2020
No Time to Die / Mourir peut attendre (2021)
Tant attendu, « No Time to Die » marque la fin de la période Daniel Craig dans le rôle de James Bond. Beaucoup de bruit mais pour quel résultat ?
Zone 414 (2021)
Un énième film SF qui pompe sur l’imagerie cyber punk de « Blade Runner ». Sans le budget, ni un scénario convaincant
The Power (2021)
Un film de possession réussi avec une âme, une ambiance bien travaillée et une jolie révélation, l’actrice Rose Williams
Happy Little Bunnies (2021)
Une petite comédie horrifique un peu trop bavarde et qui semble hésiter entre premier et second degré. Le retournement à la fin est plutôt bien fichu
Small City (2021)
Un premier film assez réussi sur l’amitié improbable entre deux êtres perdus exploités par le même truand dans un Londres crépusculaire
Limbo (2020)
Une belle comédie dramatique, sensible, touchante et humaniste, sur l’attente d’immigrés isolés sur une île écossaise
An English Haunting (2020)
Un film de maison hantée raté à cause d’un scénario confus et d’un personnage principal peu crédible
Death Ranch (2020)
Un film britannique qui emprunte au cinéma américain des seventies, entre blaxploitation et film de rednecks, en y ajoutant une bonne dose de gore !
The Reckoning / Sorcière (2020)
Neil Marshall nous sert un drame horrifique gentiment féministe mais peu crédible qui s’adresse surtout aux adolescents ou jeunes adultes pas trop regardants
A Werewolf in England (2020)
Une comédie horrifique de série Z mais au moins il y a bien des acteurs qui portent des costumes de loups garous, c’est déjà ça
Silent Night (2020)
Un film criminel sombre, pas follement original, mais suffisamment bien conçu pour maintenir l’intérêt.
Censor (2021)
En pleine période du phénomène des « video nasties », une censeuse perd les pédales. Un film d’horreur psychologique un peu trop classique sur une idée prometteuse.
Dream Horse (2020)
Un feel good movie qui emprunte largement aux recettes bien éprouvées des comédies Ealing. Aussi charmant que sans surprise
Ammonite (2020)
Un drame contemplatif et rugueux qui met en scène une aventure lesbienne sur la côte du Devon au milieu du XIXe siècle
The Father (2020)
Un premier film réussi du dramaturge français Florian Zeller. Un sujet éprouvant mais traité avec sensibilité et magnifié par les prestations d’Anthony Hopkins et Olivia Colman
His House (2020)
Un drame humain fort sur la trajectoire d’un couple de réfugiés, sous la forme d’un film d’horreur. Un pari audacieux réussi
The Owners (2020)
Un film criminel qui vire vers l’horreur avec Sylvester McCoy et Rita Tushingham dans le rôle d’un couple inquiétant,
Promising Young Woman (2020)
Un thriller glaçant sur le mode du revenge movie, qui joue avec le spectateur pour livrer un final sous forme de coup de poing dans l’estomac. Bien vu et bien fait sur un thème malheureusement d’actualité
The Nest (2020)
Un drame sur les nouveaux riches, et leurs failles cachées, un peu trop prétentieux, mais qui bénéficie d’une belle photo et de formidables acteurs
Host (2020)
Le film d’horreur de la génération Zoom, c’est à dire de nous tous qui en 2020 avons été obligés de virtualiser nos relations sociales