Films britanniques des années 2010
Malevolent / Les mauvais esprits (2018)
Un film de fantômes très classique et sans surprise (malgré la tentative de donner un peu de relief aux personnages) mais bien fait.
Cemetery Junction (2010)
Une jolie perspective sur le passage à l’âge adulte dans la banlieue anglaise des années 70, avec ce qu’il faut d’amitié, de rebellion, de romance et de nostalgie
Tooth Fairy (2019)
Du film d’horreur sans budget, produit à la chaine, qui vire vers la comédie à force d’approximations et d’amateurisme.
Borley Rectory / La maison la plus hantée d’Angleterre (2017)
Mélange audacieux de documentaire et de film d’horreur, de prises de vue réelles et d’animation, « Borley Rectory » est formellement somptueux
47 Meters Down: Uncaged (2019)
Cette fois-ci les requins ont décidé de s’installer dans une cité maya immergée… et ça va mal se terminer !
47 Meters Down (2017)
Un énième thriller horrifique à base de requins mais qui, dans ce sous-genre très représenté à l’écran, s’en tire très bien !
Attack of the Adult Babies (2017)
Une comédie horrifique anarchique à l’humour scatologique qui ne recule devant presqu’aucune absurdité et monstruosité
The Legend of Barney Thomson (2015)
La première réalisation de Robert Carlyle est une comédie criminelle qui baigne dans l’humour noir mais qui aurait pu être plus saignante
Burke and Hare / Cadavres à la pelle (2010)
Les aventures de Burke et Hare passées à la moulinette de la comédie noire. Un retour plutôt réussi pour John Landis avec un sacré casting !
Free Fire (2016)
Attention, ça tire dans tous les sens ! Ben Wheatley signe un hommage aux thrillers urbains des années 70 avec une pointe d’humour noir
Dogged (2017)
Une copie fauchée et pas crédible de « The Wicker Man », difficile à regarder même pour les fans de folk horror
Annihilation (2018)
Un film de SF philosophique très ambitieux, qui peut séduire autant qu’agacer, mais parfaitement maitrisé par Alex Garland
Mute (2018)
Un thriller SF correct mais à l’ambiance pompée sur Blade Runner. Trop paresseux pour être totalement convaincant
The Souvenir (2019)
Joanna Hogg livre un portrait de romance toxique en conservant son style personnel, exigeant pour le spectateur
The Happy Prince (2018)
Rupert Everett, habité par le rôle, nous livre un portrait intime et sombre des dernières années de la vie d’Oscar Wilde
Ex Machina (2014)
Une première réalisation réussie pour le scénariste Alex Garland. Un très bon huis clos SF sur le thème de l’intelligence artificielle
Perfect Sense (2011)
Une romance sur fond de pandémie mondiale où les gens perdent leurs sens l’un après l’autre. Au-delà de l’actualité inattendue du sujet dix ans après sa sortie, un film mémorable réalisé par David Mackenzie
Black Smoke Rising / L’amertume des cendres (2012)
Un road movie stylisé sur fond de deuil et de quête de rédemption. Une jolie ambiance bluesy desservie par quelques maladresses et un manque de moyens
Archipelago (2010)
Le deuxième film de Joanna Hogg laisse le spectateur deviner les histoires qui se cachent derrière ses personnages qui sont autant d’îles à la fois proches et si éloignées
Saint Maud (2019)
Une jeune infirmière veut sauver l’âme de sa patiente en fin de vie. Terrifiant et une superbe prestation de Morfydd Clark