Comédies dramatiques britanniques
Dead Man’s Money (2024)
Une tragicomédie noire à la Macbeth dans un village d’Irlande du Nord. Que demander de plus ?
The Railway Children / Les enfants du chemin de fer (1970)
Un charmant film familial avec ce qu’il faut de comédie, de drame et d’émotion… et trois jeunes acteurs formidables
Paul and Paulette Take a Bath (2024)
Une jolie romance atypique entre un jeune Américain à l’allure nonchalante et une parisienne obsédée par les faits divers criminels et une balade dans l’histoire sombre de Paris
The Truth About Women (1957)
Une excellente comédie signée Muriel Box où l’on se moque des attentes de la société sur ce qui doit être la place intangible de la femme mais aussi de l’homme
The Passionate Stranger / L’étranger amoureux (1957)
Une romcom satirique et ingénieuse entre fantasme hollywoodien et réalité britannique. Une belle réussite signée Muriel Box et co-scénarisée par son mari Sydney
Rattle of a Simple Man (1964)
Avant la libéralisation des moeurs, ce film est l’un des très rares à parler si ouvertement de sexe à travers l’histoire tragi-comique d’un vieux garçon qui va enfin (ou pas) se déniaiser dans les bras d’une prostituée
Poor Things / Pauvres Créatures (2023)
Emma Stone campe une « créature monstrueuse » qui s’approprie son humanité et sa féminité par l’expérience d’un monde qui baigne dans l’absurde et la noirceur
The Trouble With Jessica (2023)
Une comédie dramatique teintée d’humour noir au traitement très british. Un chouette divertissement
Nandor Fodor and the Talking Mongoose (2023)
L’histoire « vraie » et intrigante d’une mangouste parlante sur l’île de Mann au début des années 30… mais un film raté
A Day at the Beach / Un jour sur la plage (1970)
Un film oublié, scénarisé et co-produit par Roman Polanski, qui a une place particulière dans son oeuvre et sa vie personnelle. Sombre et douloureux mais empreint de la poésie du désespoir
Letter to Brezhnev (1985)
Succès surprise de l’année 1985, ce petit film indépendant tourné à Liverpool, propose une romance aussi improbable que réjouissante
Blooomfield (1970)
Unique réalisation de Richard Harris, « Bloomfield » est une comédie dramatique où Harris joue le rôle d’un footballer en fin de carrière
Red, White and Zero (1967)
Trois courts métrages passionnants à différents titres et réalisés par trois des plus grands réalisateurs britanniques des années 60 (Brook, Anderson, Richardson)
Their Finest / Une belle rencontre (2016)
Une comédie dramatique divertissante mais trop classique. Et une sacré insulte à l’âge d’or du cinéma britannique !
A Canterbury Tale (1944)
Un film de Powell et Pressburger méconnu mais qui, par son excentricité et sa complexité thématique surprenante, se classe parmi les meilleurs films du duo
The Banshees of Inisherin (2022)
La fin tragi-comique de l’amitié entre deux hommes sur une ile irlandaise. Un petit miracle viscéral signé Martin McDonagh avec ses deux acteurs fétiches Colin Farrell et Brendan Gleeson
Two Pigeons (2017)
Imaginez qu’un homme, dont le seul objectif est de vous rendre fou, vit caché chez vous. Un ofni ingénieux entre film d’horreur, comédie et drame social !
Major Barbara (1941)
Un film autant qu’un débat d’idées sur l’opposition (irréconciliable ?) entre idéalisme et réalisme. Une pointe de satire, des dialogues acérés et un casting en or
Save the Cinema (2022)
Une comédie dramatique, tirée de faits réels, bien trop formatée, mais qui plaira aux amateurs de « Feel Good Movies »
Just Jim (2015)
Comment devenir cool alors qu’on est un adolescent déprimé et souffre douleur. A la fois comédie dramatique à l’humour noir et thriller décalé, ce premier film de l’acteur gallois Craig Roberts est une bonne surprise