Les acteurs et actrices qui ont marqué le cinéma britannique
Maggie Smith (1934-2024)
L’une des plus célèbres comédiennes britanniques de sa génération, deux fois Oscarisée
Sylvia Syms (1934-2023)
On se souviendra avec émotion de sa grande période de la fin des années 50 au début des années 60. Une période aussi courte qu’intense
Sean Connery (1930-2020)
RIP Sean Connery (1930-2020), incontestablement le plus célèbre des acteurs écossais. Hors James Bond, le monsieur a fait un sacré paquet de bons films.
Earl Cameron (1917–2020)
Earl Cameron est le premier interprète noir, issu des territoires britanniques d’outre-mer, à se faire un nom dans le cinéma britannique grâce à « Pool of London » (1951)
Albert Finney (1936-2019)
Albert Finney a été l’un des acteurs fétiches de la nouvelle vague anglaise, devenu millionnaire à 27 ans grâce au succès de Tom Jones et monstre sacré du cinéma filmé par les plus grands
Dirk Bogarde (1921-1999)
Acteur populaire, Dirk Bogarde s’est transformé avec les années en l’un des acteurs-clés du cinéma européen le plus exigeant.
Roger Moore (1927–2017)
Acteur célèbre pour avoir incarné des rôles mythiques à l’écran tels Simon Templar et James Bond, Roger Moore reste l’un des plus célèbres acteurs britanniques de sa génération.
Bob Hoskins (1942-2014)
Bob Hoskins restera pour moi à tout jamais Harold Shand dans « The Long good Friday » (Racket, 1980) et George dans « Mona Lisa » (1988), ses deux meilleurs films. Et quels rôles !
Peter O’Toole (1932-2013)
Si Peter O’Toole a fait des débuts timides à la télévision dès 56 puis au cinéma en 1960, la gloire est arrivée vite et de nulle part deux ans plus tard quand il endosse un rôle d’abord proposé à Marlon Brando et Albert Finney, celui de l’aventurier TE Lawrence dans l’épique « Lawrence of Arabia » (1962) de David Lean.
James Mason (1909-1984)
Dans sa longue carrière, prolifique voire boulimique, qui durera jusqu’à sa mort en 1985, James Mason n’a jamais connu de passage à vide, et a fait montre d’une belle solidité de jugement, jouant pour tous les plus grands réalisateurs, des deux côtés de l’Atlantique. Et évitant de se retrouver bloquer dans un type de rôle, même s’il faut bien l’avouer, il excellait particulièrement dans les personnages moralement ambivalents, sombres et tragiques voir sadiques.