Films dramatiques britanniques
Red Ensign / Le pavillon rouge (1933)
« The Red Ensign » est un bon petit film de Powell alors au début de sa carrière. Le portrait des chantiers navals britanniques en période de crise est saisissant.
The L Shaped Room / La chambre indiscrète (1962)
« The L Shaped Room » est tout d’abord un superbe portrait de femme indépendante, magnifiquement campé par Leslie Caron, découverte dans « Un Américain à Paris ».
The Nanny / Confession à un cadavre (1965)
« The Nanny » est un drame terrifiant produit par la Hammer avec la grande Bette Davies qui incarne ici un monstre très humain.
Trainspotting (1996)
Un film coup de poing, un film rock’n’ roll (la bande son est culte), qui frise l’opportunisme et une certaine facilité, mais qui impose le style Danny Boyle.
Loving memory (1970)
Bien loin de ses grosses productions hollywoodiennes, Tony Scott signait ici un premier film intimiste qui rappelle les oeuvres d’Harold Pinter et Samuel Beckett.
Seance on a wet afternoon (1964)
L’une des beautés du film, admirablement filmé par Bryan Forbes, est de ne jamais essayer de capturer notre imagination et de la faire tenir en place.
Cathy Come Home (1966)
Téléfilm en mode majeur, « Cathy Come home » a été élu 2e oeuvre la plus importante de la télévision britannique
X, Y and Zee (1972)
Voici un film un peu oublié dans la filmographie de trois grands acteurs (Michael Caine, Elizabeth Taylor et Susannah York). Et pour cause. Malgré leur présence, le film est d’une platitude désarmante.
That Kind of Girl / Eva s’éveille à l’amour (1963)
« That kind of girl » n’est probablement pas le film du siècle, mais se révèle un film intéressant, au moins comme témoignage sur la vie sexuelle des jeunes au début des années 60.
Jubilee (1977)
« Jubliee » de Derek Jarman serait le premier film punk « officiel ». Malgré la polémique qu’il a déclenché à sa sortie au sein du mouvement..
White lightnin’ (2009)
White lightnin’ est un film très violent, parfois à la limite du supportable, où on ne vous épargne rien de la folie auto destructrice du personnage principal.
Room at the top / Les chemins de la haute ville (1959)
« Room at the top » est un très beau film d’amour. Evidemment superbement bien interprété par Simone Signoret mais également par un Laurence Harvey très convaincant.