Comédies britanniques au cinéma
The rise and rise of Michael Rimmer (1970)
Chef d’oeuvre de cynisme. Peter Cook est impérial dans le rôle de Rimmer, un jeune loup aux dents longues qui vient de la pub et se lance dans la politique.
The fast lady / La merveilleuse anglaise (1963)
« The fast lady » est surtout remarquable pour être la première apparition sur grand écran de Julie Christie et pour ses jolies voitures anciennes.
The Bed Sitting Room / L’ultime garçonnière (1969)
A la limite de l’expérimental. Visuellement très réussi, interprété avec talent, le film est une jolie curiosité et un véritable porte drapeau de l’absurde.
Silver bears / Banco à Las Vegas (1978)
« Sliver bears » est un bon divertissement plein d’humour, avec Michael Caine, mis en image par un réalisateur passe partout (Ivan Passer)
The Ladykillers / Tueurs de dames (1955)
« The ladykillers » est l’une des plus fameuses comédies issues des studios Ealing. On ne sera donc guère étonné du niveau d’excellence du film.
Flash Gordon (1980)
Cette production anglo américaine est sûrement l’un des OFNIs les plus marquants du début des années 80. Si vous aimez le kitsch, vous serez servis.
Billion Dollar Brain / Un cerveau d’un milliard de dollars (1967)
Bien que l’intrigue soit un peu confuse, la réalisation de Ken Russell, l’humour toujours présent et la qualité de l’interprétation emportent l’adhésion. Un très bon divertissement.
Kind hearts and Coronets / Noblesse oblige (1949)
Le miracle du film est d’aborder un sujet morbide avec un personnage central immoral, tout en conservant une certaine légèreté et une drôlerie à toute épreuve.
The private life of Henry VIII (1933)
‘The private life of Henry VIII’ est le premier film britannique à véritablement triompher aux USA et vaudra à Charles Laughton un Oscar.