Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
The Arbor (2010)
Un documentaire dur, parfois glauque, sur la vie de la dramaturge Andrea Dunbar, sa famille et le quartier populaire de la banlieue de Bradford où elle a vécu
The Look of Love / A Very Englishman (2013)
L’histoire tragique du roi de Soho, Paul Raymond. Une réalisation soignée et un Steve Coogan très en forme mais le résultat est un peu trop propret
Harry Brown (2009)
Un revenge movie bien glauque qui se déroule dans un East End apocalyptique. Michael Caine est impérial.
The Infidel (2010)
Une comédie douce-amère sur un sujet pour le moins casse-gueule : un musulman apprend qu’il est en fait juif !
Absolutely Anything (2015)
Une comédie SF signée Terry Jones, ça ne se refuse pas. Malheureusement le résultat n’est pas à la hauteur des espérances, en dépit d’un sacré casting et de quelques moments drôles !
The Guv’nor (2016)
Un documentaire un peu trop complaisant sur « l’homme le plus dur de Grande Bretagne », le boxeur, videur et ami des truands Lenny McLean
The Full Treatment / Traitement de choc (1960)
Un bon thriller psychologique signé Val Guest pour la Hammer qui se déroule entre Londres et la Riviera. Le plus grand rôle de l’acteur gallois Ronald Lewis.
No Orchids for Miss Blandish / Pas d’orchidées pour Miss Blandish (1948)
Un excellent film noir à l’américaine mais pourtant bien 100% britannique à l’exception de l’acteur Jack La Rue. Sombre et violent, le film fit scandale à sa sortie
Psyche 59 (1964)
Samantha Eggar formidable, à la fois victime et bourreau, au coeur d’un drame psychologique sur les rapports dominants-dominés
The Snorkel / L’homme au masque de verre (1958)
Un thriller méconnu de la Hammer où une adolescente décidée affronte son beau-père, assassin aussi cruel qu’ingénieux
Bellman and True (1987)
Un film de braquage réussi, plus psychologique que la moyenne du genre, avec un excellent Bernard Hill dans le rôle principal
A Severed Head (1971)
Une comédie de moeurs grinçante sur les perversions et l’hypocrisie de la haute bourgeoisie. Un beau casting mais quelques longueurs
The Devils / Les diables (1971)
Un film historique signé Ken Russel. Chef d’oeuvre absolu et le plus grand rôle d’Oliver Reed. Un scandale à sa sortie qu’on ne peut toujours pas voir (en 2020) dans sa version intégrale !
Layer Cake (2004)
Un thriller criminel qui emprunte sans vergogne les méthodes de Guy Ritchie et Tarantino, mais le fait bien. On passe un bon moment avec un casting cinq étoiles
Let Him Have It / L’âge de vivre (1991)
Un plaidoyer efficace contre la peine de mort, tiré d’un scandale judiciaire de l’après-guerre. L’un des tous meilleurs rôles de Christopher Eccleston
The Wilby Conspiracy / Le vent de la violence (1975)
Un divertissement au casting en or, parfois déroutant, mais qui fut l’un des premiers films à traiter sans fard de l’apartheid et de ses horreurs
Once Upon a Time at Christmas (2017)
Un petit « slasher » avec un père noël psychopathe réalisé par l’un des spécialistes britanniques des productions à petit budget, Paul Tanter
City of Tiny Lights (2016)
Un hommage un peu trop appuyé aux grands films noirs, parfois maladroit, mais bien porté par son ambiance et son casting
VS. (2018)
Le portrait d’un jeune délinquant qui se trouve une identité et une raison d’être à travers les rap battles
Blinded by the Light / Music of my Life (2019)
Un feel good movie avec une conscience sociale, rythmé par la musique de Bruce Springsteen, mais qui tire un peu trop sur la corde sensible.