Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
The Greed of William Hart (1948)
Le fameux duo de voleurs de cadavres Burke et Hare interprété par les très convaincants Tod Slaughter et Henry Oscar
Free Fire (2016)
Attention, ça tire dans tous les sens ! Ben Wheatley signe un hommage aux thrillers urbains des années 70 avec une pointe d’humour noir
Limbo (2020)
Une belle comédie dramatique, sensible, touchante et humaniste, sur l’attente d’immigrés isolés sur une île écossaise
Dogged (2017)
Une copie fauchée et pas crédible de « The Wicker Man », difficile à regarder même pour les fans de folk horror
Annihilation (2018)
Un film de SF philosophique très ambitieux, qui peut séduire autant qu’agacer, mais parfaitement maitrisé par Alex Garland
Kevin & Perry Go Large (2000)
Une comédie trash sur deux adolescents qui veulent perdre leur virginité et devenir DJ à Ibiza. Harry Enfield en fait des tonnes mais ça fait partie du jeu !
An English Haunting (2020)
Un film de maison hantée raté à cause d’un scénario confus et d’un personnage principal peu crédible
Death Ranch (2020)
Un film britannique qui emprunte au cinéma américain des seventies, entre blaxploitation et film de rednecks, en y ajoutant une bonne dose de gore !
Dog Eat Dog (2001)
Une comédie trash autour de quatre losers qui accumulent les ennuis. S’en sortiront-ils ? Fans d’humour subtil, s’abstenir !
St. Martin’s Lane / Vedettes du pavé (1938)
Une charmante comédie, un brin amère, avec un très beau duo, Charles Laughton et Vivien Leigh en artistes des rues londoniennes. A redécouvrir !
The Reckoning / Sorcière (2020)
Neil Marshall nous sert un drame horrifique gentiment féministe mais peu crédible qui s’adresse surtout aux adolescents ou jeunes adultes pas trop regardants
A Werewolf in England (2020)
Une comédie horrifique de série Z mais au moins il y a bien des acteurs qui portent des costumes de loups garous, c’est déjà ça
The Souvenir (2019)
Joanna Hogg livre un portrait de romance toxique en conservant son style personnel, exigeant pour le spectateur
The League of Gentlemen’s Apocalypse (2005)
Une adaptation cinématographique de la célèbre série, reine de l’humour noir. Malheureusement le résultat est plutôt laborieux
The Happy Prince (2018)
Rupert Everett, habité par le rôle, nous livre un portrait intime et sombre des dernières années de la vie d’Oscar Wilde
Wilde (1997)
Un biopic convaincant d’Oscar Wilde qui se consacre comme ses prédécesseurs à ses dernières années et au scandale qui le fit tomber de son piédestal. Stephen Fry y trouve sans surprise son plus grand rôle
Oscar Wilde (1960)
Un biopic sur les dernières années tragiques d’Oscar Wilde mais l’homme de lettres flamboyant y est étonnement sobre, voire un peu terne.
The Trials of Oscar Wilde / Les procès d’Oscar Wilde (1960)
Un très beau film sur la déchéance d’Oscar Wilde qui, s’il ne fait pas dans la nuance, livre un portrait attachant du grand homme, superbement interprété par Peter Finch
Doctor Faustus (1967)
Une adaptation baroque quasi expérimentale de « Faust » de Christopher Marlowe par un Richard Burton omniprésent et une Elizabeth Taylor sans aucun dialogue
Night Hair Child (1972)
Un thriller seventies sur un enfant pas si innocent et sa confrontation avec sa jeune et séduisante belle mère. Un duel malsain assez terrifiant !



















