Films britanniques des années 60
The league of gentlemen (1960)
« The league of gentlemen » est un bon film de hold-up made in UK, rondement mené avec ce qu’il faut d’ humour, de camaraderie et d’action.
The Wrong box / Un mort en pleine forme (1966)
« The Wrong box » est un pur exercice d’auto-dérision nationale où aucun symbole de l’Angleterre n’est épargné. Avec une tonne d’acteur épatants! A ne pas manquer !
The Sorcerers (1967)
« The Sorcerers » est un petit film d’horreur très réussi signé Michael Reeves qui montre une autre facette du Swinging London. Avec le grand Boris Karloff !
The innocents / Les innocents (1961)
« The innocents » est l’un de ces films d’horreur où tout est suggéré et rien n’est montré. On est dans une horreur psychologique. Deborah Kerr y est impériale.
The fast lady / La merveilleuse anglaise (1963)
« The fast lady » est surtout remarquable pour être la première apparition sur grand écran de Julie Christie et pour ses jolies voitures anciennes.
The Bed Sitting Room / L’ultime garçonnière (1969)
A la limite de l’expérimental. Visuellement très réussi, interprété avec talent, le film est une jolie curiosité et un véritable porte drapeau de l’absurde.
That Kind of Girl / Eva s’éveille à l’amour (1963)
« That kind of girl » n’est probablement pas le film du siècle, mais se révèle un film intéressant, au moins comme témoignage sur la vie sexuelle des jeunes au début des années 60.
Billion Dollar Brain / Un cerveau d’un milliard de dollars (1967)
Bien que l’intrigue soit un peu confuse, la réalisation de Ken Russell, l’humour toujours présent et la qualité de l’interprétation emportent l’adhésion. Un très bon divertissement.
Privilege (1967)
« Privilège » reste très actuel par sa dénonciation de la récupération marketing pour des intérêts individuels ou collectifs, économiques ou politiques.
Alfie (1966)
« Alfie » un film complexe, qui questionne les rapports hommes-femmes, avec un personnage central odieux mais pas complètement noir.
A dandy in Aspic / Maldonne pour un espion (1968)
« A dandy in aspic » n’aurait pu être qu’un film d’espionnage sur fonds de guerre froide parmi tant d’autres, pourtant il dispose de nombreuses qualités.
The caretaker / Le gardien (1963)
Le film, basé sur une pièce d’Harold Pinter, superbement interprété, est comique par moments, dramatique à d’autres, mais déborde surtout d’humanité.