Du vendredi 14 au dimanche 23 mars, le festival Nîmois tient sa 28ème édition. Les Ecrans Britanniques proposent pendant 10 jours pas moins de 37 films dont cinq avant premières (Hard Truths, September Says, Harvest, Four Mothers, Small Things Like this) et six inédits.

Parmi les invités, le critique Justin Kwedi (son blog), Chris Auty (directeur de la London Film School), l’acteur et réalisateur Paul Kennedy, la réalisatrice Sarah Gavron,…

Au programme, un hommage à l’actrice anglaise Maggie Smith morte en septembre dernier. Ce sera l’occasion de revoir quelques uns de ses grands classiques comme ‘ The Prime of Miss Jean Brodie‘ (1969) qui lui a valu un oscar et des films moins connus mais dignes d’être (re)découverts comme la comédie « Private Function » (1984).

Le festival rend hommage à l’un des grands réalisateurs anglais, Anthony Asquith qui a signé une poignée de grands classiques. Les films inclus dans la retrospective permettent de juger sur pièce de son talent avec « A Cottage in Dartmoor » (1929), « Pygmalion » (1938), « We Dive at Dawn » (1943), « The Winslow Boy » (1948), « The Way To The Stars » (1946) et « The Browning Version » (1951).

Autre point fort du festival, concocté par votre serviteur, la thématique « Black in Britain » sur la représentation des noirs dans le cinéma britannique. On commence par « The Proud Valley » (1940), « Pool of London » (1951) et « To Sir With Love » (1967). Le festival avait montré l’année dernière « Pressure » (1974), film fondateur d’Horace Ové, cette année il montrera deux exemples de films sur la communauté jamaïcaine du début des années 80 avec « Babylon » (1980) et « Burning an Illusion » (1981) pour conclure avec le documentaire « White Nanny, Black Child » (2023) et le drame « Rocks » (2019).

Pour tout savoir sur cette 28e édition, c’est par ici.