Films sociaux britanniques
Bread and Roses (2000)
Un portrait sensible de deux soeurs mexicaines exilées à Los Angeles. « Bread and Roses »ne surprendra pas ceux qui connaissent l’oeuvre de Loach, mais prouve encore une fois le savoir faire de Laverty-Loach pour créer des personnages vibrant d’humanité plongés dans un monde complètement déshumanisé.
The Angels’ Share / La part des anges (2012)
Une comédie sociale brute de décoffrage signée Ken Loach, ça ne se refuse pas !
The Angry Silence / Le silence de la colère (1960)
Si le message politique de The Angry Silence n’est pas toujours très clair, c’est un film convaincant, et souvent impressionnant, sur les méfaits de la pression du groupe sur l’individu.
The Family Way / Chaque chose en son temps (1966)
« The Family Way » n’est pas forcément le film auquel on pense en premier quand on aborde la longue carrière des frères Boulting, mais c’est un très beau film sur le passage à l’âge adulte.
Rita, Sue and Bob too (1986)
« Rita, Sue and Bob too » est une comédie acide, libertaire et anarchique sur l’Angleterre tatchérienne, qui dresse le portait d’une jeunesse sans avenir, et d’une société coupée en deux socialement.
Sapphire / Opération Scotland Yard (1959)
Sous la forme d’un film criminel très classique de série B, Basil Dearden aborde de front un sujet peu traité à l’époque : le racisme.
Made in Dagenham / We want sex equality (2010)
Si on parle bien ici d’un film social, rien à voir avec du Ken Loach. Ce n’est pas un brûlot engagé, même si le sujet est encore actuel. Mais les personnages sont très bien interprétés, la réalisation fort élégante et le discours du film de très bon goût avec une fin qui vous donnera pèche. Bref voici un bon feel good movie
Bronco Bullfrog (1969)
Bronco Bullfrog est un portrait réaliste de la jeunesse de l’Est End Londonien à la fin des années 60. Après les mods mais avant les punks !
I’m all right Jack / Après moi le déluge (1959)
Un ton décalé et satirique sur la situation de la Grande-Bretagne d’après-guerre. La comédie est magnifiquement portée par son interprétation. On retrouve ici des grands noms de la comédie anglaise.
Red Ensign / Le pavillon rouge (1933)
« The Red Ensign » est un bon petit film de Powell alors au début de sa carrière. Le portrait des chantiers navals britanniques en période de crise est saisissant.
The L Shaped Room / La chambre indiscrète (1962)
« The L Shaped Room » est tout d’abord un superbe portrait de femme indépendante, magnifiquement campé par Leslie Caron, découverte dans « Un Américain à Paris ».
The likely lads (1976)
« The likely lads » est l’un des nombreux films destinés exclusivement au marché anglais et basé sur une série télé populaire. On retrouve l’esprit de la brillante sitcom originale (1964-66)
That Kind of Girl / Eva s’éveille à l’amour (1963)
« That kind of girl » n’est probablement pas le film du siècle, mais se révèle un film intéressant, au moins comme témoignage sur la vie sexuelle des jeunes au début des années 60.
Quadrophenia (1979)
« Quadrophenia » est certainement le meilleur film jamais adapté d’un album rock, et un très grand film sur la jeunesse.
Jubilee (1977)
« Jubliee » de Derek Jarman serait le premier film punk « officiel ». Malgré la polémique qu’il a déclenché à sa sortie au sein du mouvement..
Room at the top / Les chemins de la haute ville (1959)
« Room at the top » est un très beau film d’amour. Evidemment superbement bien interprété par Simone Signoret mais également par un Laurence Harvey très convaincant.