Films dramatiques britanniques
The Nightcomers / Le corrupteur (1971)
Une préquelle au « Tour d’écrou » d’Henry James avec Marlon Brando en corrupteur de deux jeunes enfants qui vont développer une fascination pour l’amour et la mort.
The Upturned Glass (1947)
Un scénario bourré d’incohérences plombe le film à peine sauvé du naufrage par la réalisation de Lawrence Huntington et l’interprétation de James Mason
Deadfall / Le chat croque les diamants (1968)
Drame psychologie et film de cambriolage, « Deadfall » n’est pas complètement convaincant mais le trio d’acteurs (Michael Caine, Giovanna Ralli etEric Portman) ainsi que quelques scènes valent le détour !
An Inspector Calls (1954)
Un drame engagé contre l’hypocrisie de la bourgeoisie. Trop caricatural pour être vraiment efficace.
McVicar (1980)
Malgré les efforts de Roger Daltrey le film, trop classique, peine à convaincre. A réserver surtout aux fans de The Who ou de films carcéraux.
Footsteps in the Fog / Des pas dans le brouillard (1955)
Une très bonne comédie noire avec le couple mythique Stewart Granger et Jean Simmons.
Yield to the Night / Peine capitale (1956)
Une dénonciation efficace de la peine de mort avec une Diana Dors époustouflante.
Mona Lisa (1986)
Mona Lisa offre à Bob Hoskins l’un de ses plus grands rôles, celui d’un gangster au grand coeur qui tombe amoureux de la prostituée qu’il doit protéger.
Agatha (1979)
Un beau portrait de femme blessée par la tromperie de son mari. Belle réalisation et très belles interprétations de Vanessa Redgrave et Dustin Hoffman.
The Magus / Jeux pervers (1968)
Un film énigmatique et manipulateur aussi beau qu’incompréhensible. Avec un casting royal : Anthony Quinn, Michael Caine, Candice Bergen, Anna Karina.
The Dresser / L’habilleur (1983)
Un sacré duo d’acteurs (Albert Finney et Tom Courtenay) pour un portrait à la fois critique et amoureux des acteurs et du théâtre.
Nightbirds (1970)
Un drame intimiste et fauché sur une jeune femme aux instincts maternels qui virent vers la perversité.
The Whisperers / Les Chuchoteurs (1967)
Un beau film sur la vieillesse et la solitude, « The Whisperers » bénéficie notamment du talent d’Edith Evans et d’une très belle photo.
Vera Drake (2004)
Sur un sujet très difficile (l’avortement illégal), Mike Leigh nous livre un film d’une grande douceur et sensibilité.
My Ain Folk (1973)
Deuxième partie de la trilogie autobiographique de Bill Douglas et suite immédiate de My Childhood. Toujours plus sombre.
My Childhood (1972)
Première partie de la trilogie autobiographique de Bill Douglas, un moyen métrage poétique sur une jeunesse entre pauvreté et dureté.
Ratcatcher (1999)
Noir c’est noir. Une enfance entre misère, mort et culpabilité. Réaliste et poétique ou juste profondément glauque ?
Billy Budd (1962)
Un beau film, un peu manichéen, sur la lutte entre le bien et le mal porté par des acteurs exceptionnels (Terence Stamp et Robert Ryan notamment).
The Fallen Idol / Première désillusion (1948)
The Fallen Idol (1948). Un beau film entre thriller, drame romantique et comédie, première collaboration entre Carol Reed et Graham Greene.
The Selfish Giant / Le géant égoïste (2013)
Du réalisme social qui en fait trop pour être honnête, « Le Géant Egoïste » est une oeuvre si glauque qu’elle se décroche de la réalité.