Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Voice Over (1981)
Un film sur la folie d’un homme qui se réfugie dans les paroles pour noyer son angoisse. Bancal et hermétique, mais avec des fulgurances.
The Earth Dies Screaming (1964)
Une série B post-apocalyptique signée Terence Fisher, mais malheureusement au scénario sans surprise.
The Proposition (2005)
Un western anglo-australien qui a du chien, mais aux personnages pas assez bien finis pour que le film soit une vraie réussite The Proposition (2005) Réalisé par John Hillcoat Ecrit par Nick Cave Avec Ray Winstone, Guy Pearce, Emily Watson, Danny Huston, John Hurt,...
Noose (1948)
Un film de gangster cruel mais aussi une comédie au rythme enlevé et amené au firmament par une mise en scène brillante et des personnages hauts en couleur. Déstabilisant, atypique mais souvent juste génial
They Made Me a Fugitive / Je suis un fugitif (1947)
Une perle du film noir britannique signée Alberto Cavalcanti avec un Trevor Howard magistral. Brutal, sombre et haletant.
Ali G Indahouse (2002)
Si vous êtes allergique à l’humour au ras des pâquerettes et à la légèreté d’un éléphant dans un magasin de porcelaines, je n’ai qu’un conseil : fuyez, pauvres gens !
Went the Day Well? (1942)
Un film de propagande atypique où un village anglais suranné sombre dans la violence suite à l’invasion surprise d’un commando allemand. Sombre, ironique et violent.
The Reflecting Skin / L’enfant miroir (1990)
Un film sur le fil entre réalité et fantastique à la photographie très travaillée qui met en images des évènements cruels vus par un enfant de 8 ans.
Love, Honour and Obey (2000)
Comédie criminelle opportuniste dans le style de Guy Ritchie mais dont le résultat ressemble davantage à un home movie tourné un après midi entre potes…
Tomorrow Never Comes / Demain, la vie (1978)
L’avant-dernière réalisation de Peter Collinson pour le grand écran est un film policier tellement invraisemblable qu’il penche vers l’absurde. Etait-ce vraiment voulu ?
The Charge of the Light Brigade (1968)
Une dénonciation de l’absurdité de la guerre et de l’incompétence des officiers à travers une relecture d’une bataille tristement célèbre outre-manche.
Whisky Galore / Whisky à gogo (1949)
Une brillante comédie Ealing où des Ecossais assoiffés de whisky se transforment en pilleurs d’épaves !
The Edge of the World (1937)
Premier chef d’oeuvre signé Michael Powell, un véritable tour de force tourné sur une île inhospitalière au large de l’Ecosse
Odd Man Out / Huit heures de sursis (1947)
Un film débordant d’humanité (dans le meilleur comme le pire) et de poésie, des acteurs formidables et une photographie magistrale. Peut-être bien le plus grand film de Carol Reed.
Blood of the Vampire / Le sang du vampire (1958)
L’autre film de vampires sorti en 1958. Un joli pied de nez du maitre du gothique, le scénariste Jimmy Sangster qui a signé les scénarios des deux films !
Horror Hospital (1973)
Une comédie horrifique très seventies. Les amateurs apprécieront. Michael Gough y est excellent.
High-Rise (2015)
Un démontage dans les règles de la construction sociale hiérarchique et de la société de consommation.
The Halfway House / L’auberge fantôme (1944)
Une comédie dramatique fantastique qui a du mordant. Un film injustement méconnu des studios Ealing
Ill Met by Moonlight / Intelligence service (1957)
Film d’aventures avec un sourire en coin, Ill met by Moonlight rend hommage aux militaires amateurs avec l’un des faits d’armes les plus improbables de la seconde guerre mondiale !
Time Flies (1944)
Une comédie musicale de SF datant de 1944 où des stars de music hall et un escroc se trouvent propulsés dans l’Angleterre d’Elizabeth Ier. Une vraie curiosité !