Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Stage Fright / Le grand alibi (1950)
Une très bonne comédie criminelle un peu trop vite oubliée dans la filmographie d’Alfred Hitchcock et qui marquait son grand retour à Londres
Two Graves (2018)
Un thriller à petit budget médiocre qui, crime impardonnable, gâche les talents de Cathy Tyson et Katie Jarvis
Await Further Instructions (2018)
Un film entre drame, horreur et SF un peu trop ambitieux pour son propre bien et qui débouche sur un résultat mitigé
Cloudburst (1951)
Un cryptologue respecté, ancien résistant, va balayer toute morale pour venger la mort de sa femme. Un revenge movie efficace et dur, même s’il aurait bénéficié d’un peu plus de dynamisme et de moins de bavardage
Doppelgänger (1969)
Quand les créateurs de « Thunderbirds » passent au film avec des acteurs en chair et en os, c’est le clash entre l’ambition d’une SF adulte et un résultat souvent ennuyeux
Heartless (2009)
Un conte de fées horrifique cruel et sardonique signé par Philip Ridley. Un tour de force parfois maladroit par excès d’ambition
Penny Paradise (1938)
Une chouette comédie, signée par Carol Reed, avec une sacrée brochette de personnages issue des quartiers populaires de Liverpool
The Navigators (2001)
Un drame social typique de Ken Loach qui scrute à hauteur de travailleur l’impact de la privatisation des chemins de fer britanniques sur les cheminots et où l’humour et la camaraderie cèdent bientôt la place au drame
Murder Without Crime (1950)
Le premier film de J. Lee-Thompson est un film noir qui se regarde sans déplaisir et bénéficie de la présence de Dennis Price
Ghost Story (1974)
Un film de fantômes à l’ambiance particulièrement réussie. Le chef d’oeuvre méconnu de Stephen Weeks
The Party (2017)
Une comédie noire délicieuse signée Sally Potter avec des acteurs tous formidables… mais trop courte !
Cry of the Banshee (1970)
Pas de banshee, ni de Poe, mais un très bon film d’horreur gothique, cruel à souhait, avec Vincent Price
I Don’t Want to Be Born (1975)
Quand l’esprit d’un nain vengeur et psychopathe possède un nourrisson, cela donne un gros nanar même avec un générique prometteur !
Institute Benjamenta, or This Dream That One Calls Human Life (1995)
Un conte de fées sombre et difficile d’accès mais hypnotisant dû au génie atypique des frères Quay
The Vanishing (2018)
Trois hommes dans un phare sur un bout de rocher au large de la côte écossaise. Combien en sortiront vivants ? Et si les hommes étaient encore plus sauvages que la nature ?
The Corpse (1971)
Une variation sur le thème des « Diaboliques » de Clouzot parfois intrigante et malsaine mais sans génie
Starred Up / Les poings contre les murs (2013)
Un film de prison, âpre mais humain, porté par un duo d’acteurs au top (Jack O’Connell et Ben Mendelsohn), un scénario réaliste et une réalisation tirée au cordeau
The Entertainer / Le cabotin (1960)
Brillant portrait d’un artiste du music hall, cabotin et escroc, qui tente de survivre à la déchéance de sa profession. Une composition mémorable de Laurence Olivier dans un film de la nouvelle vague anglaise
Virgin Witch (1972)
Mélange d’érotisme seventies et d’horreur gothique, « Virgin Witch » séduit par son côté décomplexé et ses deux superbes actrices, Ann et Vicky Michelle
The Lonely Passion of Judith Hearne (1987)
Portrait terrible d’une femme rongée par la solitude, l’un des plus beaux rôles de Maggie Smith et dernier film réalisé par le grand Jack Clayton