Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Age of Consent (1969)
Le dernier film de Michael Powell reste un grand moment de cinéma, un film au ton original porté par des décors naturels somptueux et un casting inoubliable
Burning an Illusion (1981)
Un très beau portrait de femme noire britannique et le récit de son éveil politique dans l’Angleterre Thatchérienne
The Trollenberg Terror (1958)
Un film de SF horreur à la Quatermass, aux effets parfois risibles, mais qui sait se montrer efficace dans son dernier tiers
Tyrannosaur (2011)
Le premier film de Paddy Considine aborde la violence quotidienne, qu’elle soit dirigée contre soi-même ou les autres. Un sujet sensible traité avec retenue et justesse, avec deux grands acteurs
I Was a Spy / J’étais une espionne (1933)
Une production ambitieuse et réussie de la Gaumont-British avec Madeleine Carroll et Conrad Veidt
Sally in Our Alley (1931)
Les débuts de la star du music hall Gracie Fields au cinéma, une romance dans le Londres populaire de la fin des années 20. Un très grand succès de l’époque
24 Hour Party People (2002)
Un bel hommage, avec ce qu’il faut de respect et d’irrévérence, à la scène musicale de Manchester et à l’un de ses gourous, Tony Wilson
The Curse of the Mummy’s Tomb / Les maléfices de la momie (1964)
Film d’horreur, avec des pointes d’humour, ce deuxième film gothique égyptien de la Hammer vaut le coup d’oeil
The One That Got Away / L’évadé du camp 1 (1957)
L’incroyable histoire du seul prisonnier allemand à s’être échappé durant la 2nde guerre mondiale et à être retourné en Allemagne. Avec un Hardy Krüger formidable.
The Magnet / L’aimant (1950)
Une comédie Ealing un peu oubliée mais très réussie avec une petite pointe de satire et de noirceur. Avec un tout jeune et déjà brillant James Fox (alors âgé de 10 ans)
School for Scoundrels / L’académie des coquins (1960)
Une satire réjouissante de la réussite à tout prix et des formules magiques de développement personnel. Avec un casting en or et Robert Hamer à la réalisation (pour la dernière fois)
The Quiet Ones / Les âmes silencieuses (2014)
Un film d’horreur surnaturel à petit budget bien interprété mais lambda. Encore un coup raté de la part de la « nouvelle » Hammer
Warn That Man (1943)
Des Allemands envoient un acteur raté en Angleterre pour un plan machiavélique visant à enlever Churchill. Une idée intrigante mais une exécution médiocre
Shallow Grave / Petits meurtres entre amis (1994)
Un thriller pimenté d’humour noir sur trois amis prêts à tout pour une valise remplie d’argent. Le premier film de Danny Boyle
Black Joy (1977)
Une comédie sur la communauté jamaïcaine du quariter de Brixton à Londres. Léger mais pas sans arrière pensée sociale et politique. Une jolie réussite !
Fever Pitch / Carton jaune (1997)
Une romance sympathique qui se déroule le temps de la fameuse saison 1988-89 du club de foot d’Arsenal, tiré des mémoires de Nick Hornby
Wild Geese II / Les oies sauvages II (1985)
Une suite qui n’a rien à voir avec l’original. Un casting médiocre, un scénario improbable et très peu d’action. Un bide prévisible.
The Wild Geese / Les oies sauvages (1978)
Un grand classique parmi les films de mercenaires avec un casting en béton armé. Violent et pessimiste avec des personnages bien posés
The Terror of the Tongs / L’empreinte du dragon rouge (1961)
Christopher Lee obtient sa première tête d’affiche pour la Hammer dans un film d’aventures chinoises haut en couleurs
Maniac (1963)
Un thriller psychologique en Camargue produit par la Hammer ! Un scénario pas totalement convaincant mais une ambiance bien travaillée



















