Films britanniques des années 90
Little Voice (1998)
Une comédie musicale et sociale à l’anglaise pas si mièvre que ça et littéralement portée par l’interprétation de Jane Horrocks.
Funny Bones / Les drôles de Blackpool (1995)
Une comédie surréaliste en forme d’hommage aux comiques de music hall. On accroche… ou pas.
Hardware (1990)
Un film de SF/horreur entre onirisme et gore. Fauché, mal fichu et culte.
Metroland (1997)
Un portrait réaliste et bien vu sur une vie embourgeoisée. Un choix, une nécessité ou des regrets à vie ?
La folie du Roi George / The Madness of King George (1994)
Un portrait plein d’humour et d’humanité sur un roi qui perd la raison. La tragédie vire à la comédie satirique du pouvoir.
Lock, Stock and Two Smoking Barrels / Arnaques, crimes et botanique (1998)
Arnaques, crimes et botanique (1998) a relancé la mode des films de gangster et de casse à l’anglaise. Rythmé et excentrique, ce premier film est une jolie réussite.
Naked (1993)
Très sombre, mais également parfois hilarant, « Naked » (1993) est un film audacieux sur un marginal, idéaliste frustré, qui se venge sur lui et les femmes.
Orphans (1998)
Avec « Orphans », mine de rien, Peter Mullan nous propose un film sensible et très intelligent sur la famille et sur la perte d’un proche.
Ratcatcher (1999)
Noir c’est noir. Une enfance entre misère, mort et culpabilité. Réaliste et poétique ou juste profondément glauque ?
The Acid House (1998)
Comédie « welshienne » en roue libre, « The Acid House » ne le réconciliera pas avec ses détracteurs.
The Wind In the Willows / Du vent dans les saules (1996)
Réalisée par l’ex Monty Python Terry Jones, une comédie familiale casse-gueule et pourtant très divertissante.
Ravenous / Vorace (1999)
« Vorace » est un film d’horreur atypique et décalé qui baigne dans l’humour noir. Culte.
Gallivant (1997)
Road movie émouvant et expérimental le long des côtes britanniques. Profondément humain.
The Englishman Who Went Up a Hill But Came Down a Mountain (1995)
Une charmante petite comédie anglaise à la sauce Ealing située dans un village gallois. Avec Hugh Grant et Tara Fitzgerald.
Trainspotting (1996)
Un film coup de poing, un film rock’n’ roll (la bande son est culte), qui frise l’opportunisme et une certaine facilité, mais qui impose le style Danny Boyle.
Is that all there is? (1995)
Cet auto-portrait du grand cinéaste anglais Lindsay Anderson (If…) est émouvant, drôle et très personnel.